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N° 288 - DU 16 AU 23 DECEMBRE 2021
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Le Haras d’Hennebont accueille un grand spectacle de Noël, « Davaï », de la compagnie Jehol. Des étalons comtois qui galopent – mais aussi un mulet, un poney et un âne - des instruments suspendus, des voltigeurs qui volent autour de leurs montures, des aériens défiant la pesanteur… Au rythme de la musique live, huit artistes et vingt équidés investissent la piste pour un voyage imaginaire sur des mélodies balkaniques à base de flûte, saxophones, contrebasse, clarinette, accordéon et soubassophone. La compagnie Jehol réhabilite les anciennes figures de voltige de cirque, en y mêlant différents arts comme théâtre, danse, musique, techniques équestres, tissu aérien, acrobatie au sol, musique live, associant les prouesses techniques au service d’un propos, de sens et de poésie.
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> Du samedi 18 décembre au dimanche 2 janvier, Haras d’Hennebont
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Palpitations nocturnes. Le temps d’un soir, deux soirs, trois soirs… Une façade d’immeuble mise en valeur dans un véritable scénario lumineux constitué de centaines d’ampoules qui clignotent, défilent, ondulent, accompagnées de petits messages (avec la complicité des habitants et celle de la Maison pour tous de Kervénanec, et le concours du groupe LB Habitat). Enfilez les lunettes magiques, distribuées sur place ou disponibles à la Maison pour Tous de Kervénanec, et rentrez dans une nouvelle réalité...
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> Du 17 au 22 décembre, de 18h à 21h, 4, rue Maurice Thorez à Kervénanec, Lorient
Snowmen. Découvrez la magie de ces drôles de bonhommes de neige à facettes qui, la nuit venue, font jaillir une multitude de reflets plongeant les passants dans une atmosphère immersive et surréaliste. Ces milliers de points colorés viennent habiller l’ensemble du paysage et recouvrir aussi bien le sol que le végétal et le public...
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> Du 21 au 23 décembre, de 18h à 21h, parc du Bois-du-Château (près du kiosque)
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Comme tous les ans, Noël au Pouldu fait son retour cette année avec des animations gratuites du 9 décembre 2021 au 2 janvier. Le programme de cette semaine :
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> Du 9 décembre au 2 janvier
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Projections lumineuses géantes d’œuvres, place Gauguin, pignon de l’ancien Hôtel des Bains
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Petit train musical et boîte aux lettres du Père Noël, place Gauguin
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> Dimanche 19 décembre « Bain de Noël », à la plage de Bellangenêt à 11h
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> Du 20 décembre au 23 décembre Carrousel « Le manège salé », place Gauguin de 10h à 12h30 et de 14h à 18h (17 h le 23/12) + Entrée libre à la Maison-Musée
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> Lundi 20 décembre Atelier « chemin de table », à la Maison-Musée à 14h30
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> Mardi 21 décembre Jeux géants en bois, sur le parking de la Maison-Musée de 14h à 18h + Ateliers créatifs carte de vœux « Autoportrait en monstre marin », à la Maison-Musée à 14h et 16h30 + Lectures de contes de Noël, à la Maison-Musée à partir de 16h
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> Mercredi 22 décembre Atelier créatif « bricolage de Noël », au Café de la Plage à 14h30
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> Jeudi 23 décembre Tous à roulettes ! au Pouldu de 14h à 16h
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Dans ce numéro
SORTIR. Notre sélection de la semaine
BARS. La tête dans les raisins & Les planches rouges
LIEUX. L'atelier de Laurent Lamare à Larmor-Plage
DECOUVERTE. Jérôme Maillet
EXPOS. L'atelier Ooooh
VOUS AVEZ VU. Sylvie et Sueno
CONCOURS. Des places pour William Christie
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On vous donne quelques idées de sorties pour cette semaine, du bout des lèvres, parce qu'on sait bien que ce n'est pas le moment où vous êtes le plus disponibles...
Extrémités
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(Cirque) Un brin déjanté, un spectacle du Cirque Inextrémiste, pour une sortie en famille.
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(Marionnettes) Une odyssée épique, poétique et marionnettique, une adaptation à la scène du livre de Grégory Panaccione et Wilfrid Lupano, avec papiers et dessins. Dès 7 ans.
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(Théâtre) Ebenezer Scrooge, homme au cœur froid, tranchant comme le silex et solitaire comme une huître. Le brouillard de Londres, l’effervescence dans les rues à la veille du réveillon, des batailles de boules de neige, des chorales et des chants de Noël. D'après Dickens.
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Le rendez-vous annuel des groupes du coin (+ de 100 zicos), pour des reprises et des boeufs. Une bonne ambiance, des surprises, parfait pour une soirée entre potes avant les fêtes.
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Des rendez-vous qui mêlent performances, concerts, spectacles, dans ce lieu qu'on aime bien, ancien bar/salle des fêtes, dans le jus et plein de charme...
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On va boire des coups ?
Cette semaine, on avait envie de vous signaler deux « nouveaux » lieux à Lorient, deux bars un peu différents – même carrément différents, puisqu’ils nous donnent vraiment l’impression d’être parachuté dans une autre ville...
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Le premier s’appelle « La tête dans les raisins », et c’est – on s’en serait douté – un bar à vin, propulsé par un jeune couple, Julia et Alexandre, qui ont complètement revisité cet espace, qui, après avoir été occupé pendant tréééés longtemps par un bar historique lorientais – Le Charleston – puis un bar à salsa, puis un bar à cocktails très steampunk – L’Octopus – est aujourd’hui redécoré façon « café blanc » à la hollandaise. Carrelage métro, bois blond et mobilier de récup, on peut hésiter entre les coudes au comptoir et les petits salons en velours, dans une ambiance cocoon qui incite plus à la géométrie duo-confidences qu’à la version on-part-en-jaille-et-on-danse-sur-les-tables (d'ailleurs, la clientèle est plutôt à classer dans la première catégorie). Dans les verres, des vins – plutôt du bio ou nature - qui changent tout le temps selon l’humeur des patron.ne.s, deux sommelier.e.s qui ne rechignent pas à tirer le portrait de leur sélection pour nous. Des vins souvent sympas, singuliers et joyeux, pas donnés, mais largement supérieurs à ce qu’on peut boire dans les bars « classiques », et ça, ça vaut largement l’euro de plus que l’on met, pour prendre du plaisir sous la langue… Du côté de l’assiette, des tapas vraiment bonnes : charcute espagnole, sardines fondantes, rillettes de poisson très fraîches, gourmandises végé impeccables, et chips croquantes à la truffe. A noter, pour les becs sucrés, un carrot cake (notre gâteau favori) très honnête. Et un accueil vraiment chouette, chaleureux, simple et sincère.
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> La tête dans les raisins fait aussi épicerie, cave à vins, et c’est ouvert le lundi de 18h à 1h, puis du mardi au samedi de 14h à 1h. 8 rue de Turenne, Lorient. 09 74 97 08 74
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Le second lieu, lui, emmène plutôt du côté de Saint-Germain ou Montmartre, à mi-chemin entre le bar interlope, le café à danser, le salon à entraineuses et le club échangiste. On parle de la déco, bien sûr, et pas de la fonction. Mobilier rococo, lustre à pampilles et velours rouge.
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Le nom « Les planches rouges », a été choisi par un patron que tous les morbihannais connaissent, adorent ou détestent, grande gueule mais habile professionnel, on a nommé Bobo Zeramo, ancien propriétaire – et créateur – du mythique Cargo sentimental, à Locmiquélic. La recette de l’ambiance, toujours la même, mais d’une efficacité à toute épreuve : du rouge, des tableaux et de la musique. Murs peints en rouge, grandes toiles du patron façon expressionnisme allemand, lumières tamisées rouges (mieux vaut s’asseoir face à la porte, pour changer de couleur, sinon ça finit par piquer un peu) et concerts (payants) de qualité. Nous on y a découvert – oui, ok, ça fait 20 ans qu’ils existent mais on ne connaissait pas – Soul Motors, un excellent groupe d’excellents musiciens qui reprennent d’excellents standards de la soul, Otis Redding, Wilson Picket ou James Brown... (Ça groove à mort, avec une énergie de dingue, un concert de folie). Côté clientèle, des gens qu’on ne voit pas forcément dans les bars de la place Polig-Montjarret, un mélange de quinquas bien habillés et de trentenaires aimant danser. Et côté assiette, bah, comme le nom l’indique, des planches charcute – plutôt bonne - et fromage, ou végé. A noter, un excellent Malbec bio, pour les amateurs.
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> Les planches rouges, cabaret-concert, est ouvert du mercredi au samedi de 18h à 1h. 10, rue Saint-Pierre, Lorient. 06 52 65 69 44
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Laurent Lamare
Le hasard fait bien les choses, parfois…. Nous voilà, hier, trottinant place Notre-Dame, à Larmor-Plage, quand une enseigne nous fait un clin d’œil. Laurent Lamare, artiste peintre. Atelier galerie. Ah bah parfait ! Laurent Lamare, on l’avait rencontré juste avant on ne sait plus quel confinement, si bien que l’expo de l’époque, au Café Dubail, avait été annulée. On s’était retrouvée avec nos notes sur les bras, planquées dans un de nos 224 cahiers, notes que l’on vient de retrouver, grâce à un archivage efficace et rigoureux (en vrac dans une corbeille). Laurent Lamare, vous avez vu ses grands formats ici ou là, ne serait-ce que sur des affichettes, ne serait-ce que parce que ses portraits de la Villa Margaret, le bar – mythique - du port de Kernével, ou de la belle maison années 30 à l’angle de la rue de Liège, sont devenus des icônes…
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Arrivé il y a trois ans à l’époque de cette interview (donc aujourd’hui quatre ? cinq ?) il nous apprend qu’il a été accordeur de piano pendant 30 ans à Rochefort, en Charente-Maritime :
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« Un jour, j’ai vendu un piano dans l’île de Ré à Olivier Suire Verley (peintre emblématique des marais et marines réthaises), et là, tout est remonté, j’ai réalisé que j’avais toujours voulu ça (peindre). Je suis parti aussitôt acheter de la peinture et des pinceaux et je m’y suis mis immédiatement ».
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Quelques années plus tard, Laurent Lamare est à la tête d’un stock bien dodu de tableaux urbains qu’il vend parfois avant même que la peinture soit sèche : « Aujourd’hui, je suis débordé, je dois renouveler sans arrêt ». Un univers accrocheur, quotidien, fait de lignes, très composé, où l’architecture se fait taille la part du lion, une gestion des blancs impeccables « Ce qui prime, c’est la lumière », un rouge brique tonique, la facture est simple, graphique : « Les gens sont touchés par le style BD, mais aussi par le côté Hopper, mon peintre préféré ». Pour trouver ses sujets, Laurent Lamarre se promène et laisse faire le hasard : « Au départ, je peignais sur le motif (en extérieur) puis la météo a fini par me décourager : maintenant, je prends plein de photos, tôt le matin ou tard le soir, pour poser des ombres plongeantes sur le tableau, que je peins en atelier. J’aime le contraste entre la lumière très forte et les ombres très marquées ».
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« Je ne me force pas à être régionaliste, je peins juste là où je suis »
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Dans son top 3, la villa Margaret et ses parasols, l’aire de réparation navale, la villa Magdalen (Le Minaret) à Benodet, Dinard, Sainte-Marine, Saint-Goustan, les toits de Paris, l’Opéra Garnier… Et les terrasses de café, nos préférées, où des clients en bras de chemise observent nonchalamment les passants. « Je ne fais pas de commandes. Les gens ont des trucs dans leur tête, ça marcherait pas. Je reprends des thèmes mais je ne refais jamais deux tableaux à l’identique, je cherche des angles différents. Et j’essaye d’être très fidèle aux choses ».
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Au bout de dix ans (donc onze ? douze ?) « peindre est toujours un plaisir, une passion, une drogue… C’est toujours un calvaire de m’arrêter. Je ne suis bien que derrière un tableau. Je peins du matin au soir, tout le temps : c’est dévorant, addictif ; je travaille dans ma tête même la nuit : amener une chose, une lumière, un mélange de couleur... Je ne parle que de ça, ne pense qu’à ça »
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> Atelier Laurent Lamare, 13 place Notre-Dame, Larmor_plage. Du lundi au samedi 14h/18h et le premier dimanche du mois 9h/13h. Fermé le jeudi.
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Jérôme Maillet
On voulait vous parler de Jérôme Maillet depuis longtemps, et puis on a fini par lui acheter quelque chose (chez Improbable Jardin, à Lorient) et l'accrocher sur un de nos murs. Si ses villes dans le ciel (comme ci-dessus) sont vraiment séduisantes (nous, forcément, on a pris celle de Lorient, qui agglomère des bâtiments emblématiques de la ville pour en faire une cité imaginaire), elles sont loin de représenter toute la palette de son travail, basé principalement sur la forme et le sens, la forme du sens, le sens de la forme. Assemblant et associant des formes ou des silhouettes ayant elles-mêmes un sens propre, l'artiste en recrée une autre (forme) qui nous embarque ailleurs. On vous laisse découvrir ses sérigraphies et dessins, ses oeuvres murales, vous le croiserez forcément un jour, puisque l'artiste est Nantais.
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OOooh. Saison II
On vous en remet une couche, parce qu'on y a fait un saut samedi dernier, et la nouvelle saison de l'atelier OOooh!!! dans ses nouveaux locaux, est très chouette, avec toujours ce sens aigu du convivial et du chaleureux impulsé par Olivia de La et Nathalie Lanson. Pour les cadeaux de Noël, elles ont invité plein d'artistes, avec de très jolies choses (ah, la belle découverte du travail de Julie About !) > Du 11 au 23 décembre. Entrée libre tlj de 11h à 20h
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Sylvie a vu "Sueno" au Théâtre à la coque. Elle nous dit ce qu'elle en a pensé
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"Surtout ne pas appliquer obligatoirement marionnettes et spectacle enfants. Le Théâtre à la coque d'Hennebont propose des créations artistiques tellement poétiques, fortes, sensibles , waouhhh... Juan Perez Escala compose un voyage intérieur empli de créatures fantasques, sortes de râleurs célestes, un monde attachant (manipulé au vrai sens du terme) par un grand comédien, Suenio/songe par la compagnie Singe diesel de Brest. Grand merci pour cette belle soirée"
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Gros gros cadeau pour ce dernier numéro de l'année. On est ravies, enchantées, survoltées, fières, heureuses, comblées, de vous offrir des places pour un concert de notre idole de toujours, William Christie, la rock star du baroque !
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"Vouée à la musique baroque, Les Arts Florissants est l’une des formations les plus réputées au monde. Fondée et dirigée par le claveciniste et chef d’orchestre William Christie, elle explore un répertoire jusqu’alors méconnu : le Grand Siècle français. Lorsque William Christie a confié l’élaboration de ce programme au jeune violoniste Théotime Langlois de Swarte, celui-ci a plongé avec plaisir dans les partitions des sonates pour violon écrites au début du XVIIIe siècle et conservées à la Bibliothèque Nationale de France. Dans ce programme, Jean-Marie Leclair côtoie Jean- Baptiste Senaillé."
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> Dimanche 9 janvier à l'Archipel, Fouesnant
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Pour tenter votre chance, envoyez-nous un mail à cestparla@sortiesdesecours.com
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Appuyer sur pause
L'année dernière, on vous a plombé le moral le 24 décembre, entre notre blues de Noël et la chronique de Géraldine sur le consumérisme en période de fêtes. Cette année, on s'est dit "Et si on leur laissait vivre leur Noël sans leur foutre les boules" (ah ah ah) ? Et comme ça on fait une pause régénérante au lieu de ronchonner dans notre coin parce qu'on n'aime pas les chants de Noël et les scouts qui emballent les cadeaux à l'entrée des librairies.
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On vous offre pour l'occasion la bande annonce du Discours, d'après le roman de Fabrice Caro, on vient de le voir, et même si on a beaucoup moins ri qu'en lisant le livre, on a trouvé la scène de la pause assez drôle.
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> On vous retrouve donc de très bonne humeur jeudi 6 janvier au petit-déj, vous embêtez pas, on finira le reste de Panettone.
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