N° 362 - 22 juin 2023

Les Musik'Halles

Des concerts gratuits dans le (charmant) jardin de la médiathèque Les Sources, à Quéven.

DAN AR BRAZ ET DAVID ER PORH, une balade dans les classiques de son répertoire, mais aussi des morceaux moins connus, parfois jamais joués en public. (Jeu 23 juin à 19h)

QUINTETTE BROCÉLIANDE, composé de musiciens issus de l’Orchestre National de Bretagne, un quatuor à cordes + une flûte et une harpe. Programme, Debussy et Cras. (Ven 24 juin à 19h)

LATCHOUTCHOUKA, sept instrumentistes qui sont depuis 10 ans les ambassadeurs bretons de la Cumbia colombienne, musique populaire aux racines africaines. (Sam 25 juin à 20h30)

L'ATELIER MUSIQUE. À 16h30, élèves et professeurs des ateliers piano, violon, harpe, guitare, batterie et chorale des ados. À 19h, chorale Tempérament “Carmen en chœur” de Julien Joubert, d'après l'œuvre de Bizet. (Dim 26 juin)

Rêves d'Océan

19e édition de ce festival plein de charme, sur les deux rives du port de Doëlan. Un bon prétexte pour se balader dans le plus beau port de Bretagne (en toute objectivité). Cette année, le thème est la nature, les forêts, parcs et jardins, les fleurs et les plantes... Les maisons d'édition invitées sont les Editions Thierry Magnier et les Editions Grasset, et la présence d'une trentaine d'auteurs et illustrateurs.

Deux jours d'animations à partager en famille. Des auteurs et des illustrateurs en signature, des expositions, des stands d'associations, des ateliers pour enfants et adultes (linogravure, origami, dessin...), des contes, des spectacles, un parcours sensoriel, des jeux...

> Sam 24 et dim 25 juin, à partir de 11h, Port de Doëlan, Clohars-Carnoët
> Tout le programme ICI

Ce week-end

Foire aux livres libertaires

Organisée par l'association "Voltairine et ses amis".

> Sam 24 juin,13h30 / 17h30. Cité Allende, Lorient. Le programme ICI

Festival La bougeotte

Organisé par la compagnie Les Divers Gens, un festival de danse dans les petites communes
> Sam 24 juin, à partir de 14h, Pluvigner

Le grand égarement

Retour de cette journée organisée sur le site de la gare d'Hennebont. On n'a pas eu le temps de trouver le programme précis, mais l'année dernière, on avait trouvé ça chouette, ces grandes tablées sous les arbres, avec des animations familiales et des concerts. C'est la tavarn Ty gar qui organise ça, et c'est samedi 24 juin à partir de 15h.

Jacqueline Jouanneau

Une peintre qu'on aime beaucoup, et qu'on n'a pas souvent l'occasion de voir. Grands formats, recherche, couleur, foncez.

> Exposition à la Galerie du coin, rue de la marine, Port-Louis, jusqu'au 30 juin

Nouveau restau. L'étal

On a testé avec une de nos copines Véro un nouveau restaurant à Lorient, dont on aime beaucoup le concept. L'étal est une poissonnerie, qui se fournit directement à la criée, donc garantie du frais, mais c'est aussi un restaurant. On peut choisir un plat sur la carte (Fish & Chips, langoustines, brochettes de poisson, brochettes de gambas, lotte en persillade...), mais aussi montrer du doigt un poisson sur l'étal et dire "Je veux celui-là", et hop, les gentils gens du restaurant vous le préparent, à manger sur place ou à emporter. On dit "gentils" parce que oui, on s'est pointées à l'arrache vers 14h, et ils nous ont dit oui avec un grand sourire, ce qui n'est pas si fréquent...

Donc Véro a choisi un Chirashi de saumon et bar avec avocat, mangue et riz vinaigré, impeccable, et moi une sole meunière avec (d'excellentes) frites maison pour le prix imbattable de 12,90 €, parfaite, bien beurrée (photo) ! Côté déco, c'est simple et efficace, lumineux malgré la disposition en longueur, et peu de tables, il est donc prudent de réserver. Mais d'ici peu, L'Etal va s'étaler sur la boutique d'à côté, ce qui leur permettra de rajouter des tables.

Une adresse vraiment chouette, du poisson en hyper centre, c'est quand même vachement bien...

> L'Etal, 29 bis rue de Liège, Lorient. 02 97 89 19 71

👛 C'est toujours bon de le rappeler

Nous ne sommes ni un guide gastronomique, ni des influenceuses qui tendent leur carte de visite au moment de l'addition. Dans les restaurants, c'est notre carte bleue qu'on donne à la sortie.

Et c'est parce qu'on a trouvé bon et intéressant ce qu'il y avait dans l'assiette, et qu'on aime partager nos découvertes avec vous, qu'on écrit des articles sur nos coups de coeur. Juste ça !

Firestone Peak

Cette semaine, on vous propose d’aller voir l’exposition de Nicolas Desverronnières avec nous - et avec lui, puisqu’on a fait la visite ensemble. On vous raconte.

D’abord, on vous suggère de prendre votre temps. Ne speedez pas, ou vous risquez de passer à travers l’essence de cet artiste, qui ne travaille pas sur l’évidence. Regardez avec attention les intentions, les strates, les volumes, les courbes, les matières... A commencer (Plusieurs séries, toujours aussi complexes et enthousiasmantes, sont à découvrir au sein de l’exposition, mais nous avons choisi de nous concentrer sur une seule, pour ne pas surcharger l’article) par le bois, acteur principal de « Firestone Peak ». Un bois que Desverronnières creuse, strie, brûle, noircit, scie, ponce, coupe, ajuste, superpose. Un bois qu’il a rencontré lors d’une résidence au Québec, où il a expérimenté pour la première fois la pyrogravure. Plusieurs pièces sont ainsi dessinées directement au pyrograveur, sans jamais utiliser la ligne, mais par un motif entre le pixel et les petits trous que forment les insectes xylophages, les scolytes. Ces motifs, abstraits de près, forment des paysages ou des gros plans sur des matières, vu·e·s de loin, un peu comme une texture de photo. « Je zoome sur des détails, ce qui donne des formes très graphiques ».

Une connexion forte avec la nature

« Je travaille sur les paysages transformés par l’humain, notamment le « mountain top removal », un procédé minier utilisé aux Etats-unis qui consiste à raboter le sommet d’une montagne pour en retirer le charbon ». Ce procédé barbare, Desverronnières le reprend dans sa manière de couper et de recréer le paysage, en y rajoutant une dimension sensuelle et affective, par les courbes qu’il crée dans le bois.

Suivre le fil du bois

Chaque pièce de l’exposition peut se relier aux autres, sans que la liaison ait été voulue au départ : ainsi les paysages pyrogravés répondent-ils à une « carte » faite de carreaux de bois évoquant les courbes de niveaux, « entre parquet et territoire topographique, comme un topo de lieux imaginaires ». Fractionnée en parcelles, l’œuvre est entre le jeu et la maquette, et chaque morceau de bois utilisé provient des chutes d’une scierie - pin, mélèze, cèdre de Colombie Britannique – prélevé et construit sur place : « Tout le travail du bois est fait par moi-même, je développe un processus d’autonomisation en construisant le projet de A à Z »

Inverser la consommation

Si les œuvres se répondent formellement, il y a aussi dans Firestone Peak un jeu de correspondances « en creux » entre elles. Ainsi un « mur » de bois constitue-t-il comme une trace de la « carte » au sol, et un écho aux tableaux pyrogravés, par les trous qui y ont été creusés. Ainsi cette « paroi » rocheuse qui évoque à la fois écorce et montagnes du Colorado est-elle constituée de parois de meubles Ikéa en aggloméré, elles-mêmes agglomérées en un bloc et sculptées. Une chaine de transformation inversée : en effet, pour fabriquer une étagère Billy, on coupe et découpe des arbres en morceau pour faire des planches d’aggloméré, puis on jette l’étagère au bout de quelques années. Desverronnières, lui, fait le contraire en agglomérant les étagères jetées : « J’essaye de retrouver une forme sauvage, originelle, en sculptant comme une paroi géologique avec les différentes couleurs de l’aggloméré. Le paysage devient un motif ornemental »

> Jusqu’au 29 juillet à la Galerie Tal-Coat, Hennebont

Le Théâtre de Lorient présentait mardi 20 juin sa nouvelle saison via la voix de son nouveau directeur, Simon Delétang. On vous fait le debrief.

> 2 spectacles de danse // 22 spectacles de théâtre // 6 spectacles de musique // 1 spectacle de cirque. Deux ou trois dates par spectacle, avant de tenter sur 2024/25 de longues séries.

> 3 nouveaux rendez-vous : Itinérance : 4 spectacles par saison dans des lieux non dédiés. Première à Ploerdut // Escales : 💙 1 samedi par mois à 17h, une carte blanche à des assos ou personnalités. (Temps fort marionnette, Lecture d’Eric Ruff, Focus sur la manga, Leila Slimani, Bagad de Lorient, FCL, François-Régis Gaudry et On va déguster, Vincent Dedienne) // Litt’oral : 1 temps fort en mai, au bord de l’eau, à Kerguélen, Kerhervy, Péristyle…

> Le retour des abonnements avec des tarifs au niveau de 2021 (De 18 à 25 €, avec 5 gros évènements à 35 €). Et un billet couplé avec le FCL. La billetterie est ouverte dès à présent.

> Changement de nom des salles : le plateau du Grand théâtre devient Salle Marie Dorval, le studio, Joseph Pontus, et le CCDB, salle Marguerite Duras. Le tout avec une nouvelle identité visuelle autour des mouettes et des paysages bretons.

> Le programme

- Suzy Storck. Une pièce créée il y a quatre ans par Simon Delétang, pour découvrir son univers (20/23 sept) 💙

- Et si tu danses. Un spectacle de danse jeune public, signé Marion Lévy (26/27 sept)

- Un mois à la campagne d’Ivan Tourgueniev, transposé dans les années 60 en Italie par Clément Hervieu-Léger (5/6 oct)

- La grande marée, de Simon Gauchet, dont on avait aimé « L’expérience de l’arbre », qui commence une nouvelle quête, autour des rêves. (12/13 oct) 💛

- Récital Schubert par Stéphane Degout, un artiste lyrique puissant, qui a collaboré avec Olivier Pyn, Cyril Teste, Patrice Chéreau… (19 oct)

- Et voilà ! Stephan Eicher, en partenariat avec le festival Les Indisciplinées. (7 nov)

- Juste la fin du monde de Jean-Luc Lagarce, mis en scène par Antoine De La Roche, en bifrontal et petite jauge, à comparer avec la version cinéma de Xavier Dolan. (8, 9 et 11 nov)

- Entre ses mains, de Julie Guichard, immersion en milieu hospitalier (15/18 nov)

- Le Tartuffe ou l’hypocrite, de Molière, par Ivo Van Hove, avec la troupe de la Comédie-Française. Un grand metteur en scène et des acteurs whaou, Denis Podalydès, Marina Hands, Dominique Blanc… (25/26 nov) 💛💙

- Nos matins intérieurs, par le Collectif Petit Travers et le Quatuor Debussy, une forme circassienne pour 12 jongleurs et un quatuor à cordes (30 nov/1er déc)

- Lazzi, de et par Fabrice Melquiot (cœur avec les mains) avec Philippe Torreton, autour de la nostalgie des vidéo-clubs (7/8 déc)

- Une vie d’acteur, des entretiens avec l’auteur Tanguy Viel et Pierre Maillet (13/14 déc) 💛

- Anime Symphonic Journey, un concert autour des films d’animation japonais (23 déc)

- Par Le Boudu, de et avec Bonaventure Gacon, clown mythique, personnage de vagabond antipathique. Un spectacle créé il y a 16 ans. (10 au 12 jan) 💛

- La chute des anges, de et avec Raphaëlle Boitel, l’ex muse de James Thierrée, qui fait carrière solo. Son nouveau spectacle questionne apesanteur et chutes. (16/17 jan) 💛

- Ode Maritime, de Fernando Pessoa, par Lena Paugam. La version en salle de ce spectacle créée pour une façade maritime. Puissant et très beau. (24/27 jan) 💛

- Andromaque, de Racine, par Stéphane Braunschweig, grosse pointure du théâtre, avec la formidable Bénédicte Cerruti, que les Lorientais connaissent bien (1er/2 fév) 💛💙

- Le colonel des Zouaves, d’Olivier Cadiot, par Ludovic Lagarde. La reprise de ce fantastique et mythique spectacle, vu à plusieurs reprises à Lorient avec Laurent Poitrenaux, qui va transmettre ce rôle, qu’il a créé il y a 27 ans. (13/14 fév) 💛

- Médecine générale, d’Olivier Cadiot, par Ludovic Lagarde. Toujours avec Laurent Poitrenaux. Un pass permettra de voir les deux spectacles. (16/17 fév) 💛

- Tenir debout, de Suzanne De Baecque. Un spectacle visuel et impertinent autour des concours de Miss. (21/23 fév) 💙

- Dark was the night d’Emmanuel Meirieu. Pour ceux qui l’ont manqué cette saison à Vannes. Gros décor, grosse forme. Scotchant. (13/14 mars)

- En travers de sa gorge, de Marc Lainé. Passé à vannes aussi, un thriller fantastique de notre metteur en scène chouchou. Avec la géniale Marie-Sophie Ferdane (20 et 21 mars) 💛💙

- Encore plus, partout, tout le temps, cie L’avantage Du Doute. Vous avez vu « Tout ce qui reste de la révolution c’est Simon ». Seul spectacle d’écriture de plateau, sur l’écologie (27/28 mars)

- L’Irlande classique, un concert de l’Orchestre National De Bretagne (29 mars)

- Un soir de gala, de et avec Vincent Dedienne, qui a obtenu le Molière du seul en scène pour ce spectacle d’humour, sensible et caustique, comme le personnage (4 avril)

- Le firmament, de Lucy Kirkwood, par Chloé Dabert, que là encore, les Lorientais connaissent très bien. Un spectacle en costumes du 18e siècle dans une scéno contemporaine. (10/11 avril) 💛

- Illusions Perdues, de Balzac, par Pauline Bayle, à comparer avec l’excellent film de Giannoli. Ici pas de décor, et cinq acteurs qui jouent tous les rôles (16/19 avril)

- Requiem(S). Mozart par le Quatuor Debussy. Une mise en scène avec de vieux fauteuils et des bougies, ah tiens ça change… (20 avril)

- Neandertal, de David Geselson (Rappelez-vous, Doreen, ou Lettres non écrites). Un spectacle créé à Avignon été 2023. (30 mai)

- Age Of Content, par Les Ballets de Marseille et (La)Horde, autant dire que ça va dépoter, déménager, décoiffer, avec 17 danseurs et un décor à la Star Wars. (6 et 7 juin) 💛

Légende

💙 Coup de cœur Simon Delétang

💛 Coup de cœur Sorties de secours

Le lieu de nous où toute chose se dénoue...*

La construction de ces architectures de désirs s’élabore à l’encre de chine sur papier, avec une grande application à la lenteur, au choix du tracé, comme si telle brindille était plus séduisante qu’une autre ; les lignes sont de petites branches de rêves qui petit à petit les rendent presque possibles. Faire durer le plaisir, comme essayer de retenir un frisson d’amour au creux de son ventre, entretenir la joie ou jouir du grand silence de l’horizon, en lévitation entre la terre et le ciel… J’aimerais que ces constructions puissent être vivantes, que l’on puisse en prendre soin. Qu’elles soient sensibles au point d’interagir entre la lumière du jour et la tombée de la nuit, qu’elles révèlent parfois des rêveries érotiques au contact d’une caresse, et vibrent du souffle d’un secret...

J’amorce des recherches et expérimente différents procédés d’impressions en sérigraphie, avec des supports divers - papiers, tissus, bois - et des encres et vernis photosensibles, thermochromiques, phosphorescent·e·s, afin que la lumière ou la chaleur soient les vecteurs d’un lien physique avec l’œuvre. Le chemin est long avant de trouver satisfaction, mais j’aime l’idée que rien ne soit impossible…

"Ménager plutôt qu’aménager. Jardiner les possibles, prendre soin de ce qui se tente, partir de ce qui est, en faire cas, le soutenir, l’élargir, le laisser partir, le laisser rêver". Marielle Macé - ‘‘Nos cabanes’’ - édition Verdier

* Aragon

Essais d’impressions en noir et blanc, pour une lecture classique de jour, la nuit s’éveille un deuxième dessin, abstrait ou figuratif, grâce à un procédé d’encre phosphorescente.

Photo Stéphane Lavoué

Quelques expos à voir en Twingo ?

> A BREST : « Modeste collection » Banksy aux Capuçins jusqu’au 25 juin // « Grande terre », Laura Henno à la Passerelle jusqu’au 16 septembre

> AU GUILVINEC : L’homme et la mer, festival photo, jusqu’au 30 septembre

> DANS L'ÎLE D'ARZ : Daniel Buren « Au détour des routes et des chemins », jusqu’au 30 octobre

> A RENNES : Collection Pinault, « Forever sixties », jusqu’au 10 septembre

> A LANDERNEAU : « Sur les traces de Tolkien et de l'imaginaire médiéval ». Peintures et dessins de John Howe, au Fonds Hélène et Edouard Leclerc, du 25 juin au 28 janvier.

> A MOËLAN SUR MER : Une expo en plein air de deux artistes bretons, repros en grand format de dessins de Christophe Babonneau (Série « La légende de la mort ») et de photos de Stéphane Lavoué – qu’on adore pour ses personnages ordinaires aux airs de héros, et son traitement du noir et de l’eau, jusqu’au 17 septembre

> A DINAN : Le délicieux illustrateur Benjamin Bachelier, à l'Abbaye de Léhon, jusqu'au 3 septembre.

> A DOUARNENEZ : Ys, une collab entre Benjamin Deroche, ce photographe qu'on a découvert récemment et sur lequel on a craqué, et des textes de Philippe Le Guillou, jusqu'au 3 novembre.

Le Grand Huit

Un nouveau lieu de création, de spectacle et de fête à Rennes, aux couleurs foraines, plutôt tentant ! Installé au cœur des anciens ateliers techniques de la gare, le Grand Huit va ouvrir ses portes en juillet à l'occasion des Tombées de la nuit, avec des concerts (Bahia el Bacha, Fleuves, fanfare Acid brass) sur parquet couvert. Aux commandes, le collectionneur de manèges Régis Masclet et les makers de Makeme. Dans un décor forain vintage, à terme, expositions, spectacles, ateliers de création, et un bar (yes !). Le Grand huit s’inscrit dans le vaste projet d’Eurorennes, qui vise le renouvellement urbain du quartier de la gare et réunira quatre halles de 13 000 m2, où cohabiteront logements, industries culturelles et créatives, et activités tertiaires. La halle 1 prévoit une ambiance mixant cabaret et bistrot, avec une programmation de spectacles vivants. Les halles 2 et 3 présenteront les manèges de la collection du Grand huit accumulés par la famille Masclet, des spectacles déambulatoires, des expositions d’arts plastiques ou numériques. La quatrième halle, pavillon de création, sera un tiers-lieu accueillant artistes, artisans et makers passionnés par la technologie et la création de groupe : électronique, robotique, impression 3D, machines-outils…

> 20 rue Pierre Martin, Rennes, du 6 au 30 juillet, mer, jeu, dim de 14h à 20h et ven, sam de 14h à 22h30. Plus d'infos ICI

Stage de musique

La Malterie, à Cléguer, propose un stage de musique pour les 11-15 ans du 17 au 21 juillet : apprendre à composer ou à jouer en groupe, autour de reprises d'Imagine Dragons, Mickaël Jackson, Ed Sheeran, Bruno Mars... Intervenant: Yann Daniel, animateur et musicien.

Horaires: lundi au vendredi 10h-16h. Tarif: 150€ la semaine. Info/résa: Sarah Tréhin 06 62 36 20 19

BIEN SUR, ON EST SUR FACEBOOK

ET SUR LINKEDIN, AUSSI...

MAIS ON PREFERE INSTAGRAM...

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