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N° 390 - 15 février 2024
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Le Festival MĂ©liscĂšnes, marionnettes et thĂ©Ăątre dâobjets, c'est 23 spectacles, 68 reprĂ©sentations, mais aussi une crĂ©ation collective "la cabane Ă Plume(s)", des ateliers et des expositions.
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> La billetterie pour les spectacles à Auray et à La Trinité-sur-Mer est ouverte au Centre Culturel Athéna, ainsi qu'en ligne sur MAPADO
> Par mail : reservation.athena@ville-auray.fr
> Par téléphone : 02 97 56 18 00
> MéliscÚnes se déplace dans le Pays d'Auray... Réservez vos places pour les spectacles joués dans le Pays d'Auray directement auprÚs des villes partenaires.
> DĂ©couvrez le festival en images en cliquant ici
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> Du 10 au 23 mars 2024 Ă Auray et dans dix villes du Pays d'Auray.
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> Billetterie du Centre Culturel Athéna, Place du Gohlérez, Auray
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Sur scĂšne, un tabouret blanc. Pas besoin de dĂ©cor pour HĂ©patik Girl, cette super hĂ©roĂŻne des temps modernes. Ce ne sont ni ses trois maladies chroniques, ni les assureurs, qui lâempĂȘcheront dâacheter son appartement ! Avec humour et optimisme, elle raconte son parcours Ă©pique, slame, danse, convoque une multitude de personnages et donne des pistes pour triompher des maux qui habitent nos corps et nos sociĂ©tĂ©s. [Le teaser ICI]
> Dim 18 fĂ©vrier Ă 17h, Salle des fĂȘtes de Clohars-CarnoĂ«t. Tarif 6/10âŹ. DĂšs 12 ans. DurĂ©e : 1h15
> Billetterie ICI
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Dans un espace blanc, deux danseurs Ă©voluent, parĂ©s de costumes Ă©tonnants, et sâamusent Ă brouiller les pistes : animaux, princesses ou super-hĂ©ros, ils rĂ©vĂšlent diffĂ©rentes figures reconnaissables et pourtant pleines dâĂ©trangetĂ©. Car ces costumes se transforment, jouant dâassociations imprĂ©vues et presque surrĂ©alistes, qui font apparaĂźtre tantĂŽt une princesse Ă tĂȘte de grenouille, tantĂŽt un superman aux pattes dâours⊠La frontiĂšre entre animal, humain, masculin, fĂ©minin, rĂ©el ou imaginaire nâest plus si claire, les figures convoquĂ©es se recomposent, dessinant des personnages hybrides qui sâĂ©mancipent de leur condition pour affirmer par leur danse une singularitĂ© Ă©tonnante, complexe et joyeuse. [Regarder le trĂšs joli et facĂ©tieux teaser ICI]
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Une visite guidĂ©e dĂ©calĂ©e et burlesque, par deux clowns aux connaissances extravagantes et sans limites qui endossent le rĂŽle de "Grandes Guides ĂmĂ©rites" pour faire dĂ©couvrir les Ćuvres du musĂ©e. Une bonne idĂ©e pour les enfants, mais pas seulement.
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Doc de Rosine Mbakam (Belgique - 2016 - 1h10 - vostf) : AprĂšs avoir fui le Liban oĂč elle Ă©tait rĂ©duite en quasi esclavage, Sabine, originaire du Cameroun, s'installe dans le quartier MatongĂ© Ă Bruxelles, oĂč elle est gĂ©rante d'un salon de coiffure, en attendant que sa situation se rĂ©gularise. Dans ce salon de 8m2. Sabine et les autres coiffeuses s'organisent et s'entraident pour faire face Ă la clandestinitĂ©.
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// En partenariat avec Cinéphare et en présence de la réalisatrice.
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Deux spectacles de la Cie Tro-HĂ©ol, qu'on adore, qui se rĂ©pondent pour composer un programme dystopique sur le thĂšme de la chirurgie esthĂ©tique et de ses dĂ©rives. Dans Scalpel, Emma joue son dernier atout en changeant de physique pour obtenir un meilleur poste. Dans Plastic, Eva, Ă©minente scientifique, cherche le moyen de redonner vie Ă notre planĂšte mourante, oĂč lâHumain ne fait peut-ĂȘtre plus partie de lâĂ©quation...
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Quarante-quatre ans aprĂšs Dachau dĂ©cĂšde Hippolyte, le grand-pĂšre de CĂ©line Didier, qui va alors se plonger dans ses souvenirs de rĂ©sistant et de dĂ©portĂ©, consignĂ©s dans un cahier quâil a tenu secret. Un livre fait de retours Ă la ligne intempestifs, sans ponctuation, comme une conversation entre les vivants et les disparus. Une lecture musicale de la Cie Staccato, suivie d'une rencontre avec l'autrice.
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Un groupe pop-rock tout frais tout neuf, TU MâADOR, soutenu par lâĂchonova Ă Saint-AvĂ©, et qui sera prĂ©sent dans ce festival plutĂŽt tentant, Ă Ploeren, "L'Ăąge des possibles". [DĂ©couvrir ICI]
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Oh. Si vous aimez, comme nous, ĂȘtre un peu espantĂ© par quelque chose de nouveau, on vous suggĂšrerait bien d'aller voir cette drĂŽle de chose qui ne ressemble Ă rien et mĂȘle burlesque, humour british, danse, absurde, crĂ©Ă© par la chorĂ©graphe luxembourgeoise Simone Mousset, qui brouille les repĂšres dans un objet chorĂ©graphique surrĂ©aliste. [Le teaser ICI]
> Mer 21 fév, 20h30, Athéna, Auray
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Ateliers BD avec Fabien Grolleau
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Auteur de BD morbihannais, Fabien Grolleau s'est taillé une bonne place dans le milieu. Il propose aux enfants et ados (à partir de 8 ans) un cycle de cinq ateliers destiné à accompagner les futurs auteurices à la création d'un projet de bande dessinée ou de livre illustré amateur, de l'idée à l'écriture du scénario, la mise en scÚne, les dialogues et les textes, le crayonné et le dessin final.
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Alors que Suzanne de Baecque eÌtait encore eÌleÌve comeÌdienne aÌ lâEÌcole du Nord aÌ Lille, on lui a demandeÌ, comme aÌ ses camarades, de sâimmerger durant un mois dans un nouvel environnement. Elle choisit le concours de Miss Poitou-Charentes 2020. De cette immersion concreÌte est neÌ ce spectacle, questionnant ces meÌtiers dits de repreÌsentation ouÌ les preÌjugeÌs virevoltent, mettant actrice et miss dans le meÌme sac. On n'a pas vu d'extrait, mais le sujet nous parait assez tentant.
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On vous donne juste trois noms : Olivier Cadiot, Ludovic Lagarde, Laurent Poitrenaux. Un trio que les spectateurs lorientais ont adoré pendant moult spectacles durant le mandat d'Eric Vigner au CDDB. Le premier est un merveilleux auteur, à la langue inventive, gracieuse et enlevée ; le second est un metteur en scÚne créatif, à l'univers épuré, contemporain et facétieux ; le troisiÚme est un immense comédien. Le tout produit des spectacles inoubliables, formidables, aimables. (Photo Mariano-Barrientos)
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On a repĂ©rĂ© cet artiste qu'on ne connaissait pas, bien qu'il ait une solide carriĂšre derriĂšre lui. Et on a trouvĂ© son univers assez chouette. Voila quelqu'un qui n'est pas sans rappeler le travail de VilleglĂ©, mĂȘme si ça n'a rien Ă voir, puisque lĂ oĂč VilleglĂ© travaillait sur les couches d'affiches dĂ©chirĂ©es, Pennec tisse des cagettes et cageots, utilisant les inscriptions, les couleurs, le graphisme, pour crĂ©er autre chose, laissant la typo, les lettres, les mots, apparaĂźtre pour composer des formes, des impressions, des paysages, parfois des figures, de maniĂšre parfois abstraite, parfois figurative, tantĂŽt comme un collage, tantĂŽt une mosaĂŻque, assez brute. Leur point commun est donc dans la trace d'un objet banal, transfigurĂ©e par le travail de l'artiste. Une belle dĂ©couverte. [Son site ICI]
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On vous fait deux mots sur "Miscellanées", l'exposition des Cas brassés, un binÎme de graveurs de sérigraphes avec lesquels on a raté successivement deux rendez-vous, et on a peur que le temps file trop vite. Si on arrive à se caler, on vous en reparlera, en attendant, allez jeter un oeil sur leur compte insta, c'est super beau, ce qu'ils font.
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> Expo jusqu'au 6 mars chez Code zero, 5 rue de Carnel, Lorient
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On vous signale une "expérience sensorielle", performance texte et sons de Kairos Effect, ce jeudi soir à l'Atelier OOooh! dans le cadre de l'exposition de l'atelier Catpied. On ne sait pas trop ce qui va se passer, mais ça nous parait un peu barré et trÚs intrigant, ce qui est souvent un bon départ !
> Jeudi 15 fév à 18h30, atelier OOooh!, 19 rue Joseph Talvas, Lorient.
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Un mot sur le Colonel des Zouaves
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que je suis allĂ©e voir mercredi soir, pensant quâil rejouerait jeudi, mais non, je me suis trompĂ©e. Donc une fois nâest pas coutume, je vais vous parler dâun spectacle que vous ne pourrez pas voir dans la foulĂ©e. Mais un mot quand mĂȘme, beaucoup pour ceux qui ont vu lâoriginal, jouĂ© par Laurent Poitrenaux. En effet, cette version-ci est bien la mĂȘme, dans une mise en scĂšne identique, mais avec un autre comĂ©dien, Guillaume Costanza, Ă qui Laurent Poitrenaux a transmis le rĂŽle, exactement comme l'aurait fait un danseur.
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Et câest passionnant Ă regarder. Car le choix qui a Ă©tĂ© fait ici est celui dâune transmission au millimĂštre prĂšs (je peux ne pas avoir chopĂ© les diffĂ©rences, la version que jâai vue remonte Ă au moins quinze ans) au geste prĂšs, au regard prĂšs, Ă la plus petite intonation prĂšs. Costanza sâest coulĂ© dans le costume au point que par moments, il ressemblerait presque Ă Poitrenaux, bien quâil soit trĂšs diffĂ©rent de lui. Une performance, donc, et une performance dâintĂ©gration du texte, et des gestes, quâil maĂźtrise Ă la perfection. Il « tient » le texte, qui coule â au moins autant que la sueur qui envahit sa chemise jusquâau coude â sans la moindre hĂ©sitation. Une performance Ă faire entendre ce texte sublime, on ne reviendra pas lĂ -dessus, Olivier Cadiot est grand, grand, grand immense.
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Mais cette performance est celle dâun imitateur. Alors rassurez-vous, jâĂ©tais assise Ă cĂŽtĂ© de ma copine VĂ©ro, qui nâa pas vu lâoriginal, et trouvĂ© ça fantastique. Le problĂšme se niche donc dans la comparaison que je nâai pu mâempĂȘcher de faire. Sachant que je suis la fan number one de Laurent Poitrenaux. Une comparaison qui nâest pas sans intĂ©rĂȘt, et qui pose la question â et donne en partie la rĂ©ponse â de ce que câest que la crĂ©ation, ce que câest que lâinterprĂ©tation, de comment on embrasse, on habite, on invente un personnage. Ce majordome schizo, câest Poitrenaux. Câest lui qui lâa inventĂ©, avec Ludovic Lagarde, le metteur en scĂšne, Ă partir des mots dâOlivier Cadiot, lâauteur. Son corps a Ă©crit les mouvements, son visage les expressions, sa voix les inflexions, les intonations. Et câest assez merveilleux de se dire que transposĂ© dans un autre ĂȘtre humain â aussi brillant soit-il â est bien ça ne marche pas pour qui connait l'original.
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Notre idiosyncrasie nous rend uniques et irremplaçables. Et ça, Ă lâheure de lâIA, câest chouette.
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LâannĂ©e derniĂšre, jâĂ©tais allĂ©e Ă la rencontre, dans sa maison lorientaise, de Clara Diez Marquez, chanteuse dâorigine asturienne du groupe Muga, pour le projet « Lorient, voix de femmes ». On avait passĂ© un bon moment ensemble, jâavais bien aimĂ© son cĂŽtĂ© cash. Et voilĂ que je me retrouve Ă Amzer Nevez, Ă Ploemeur, pour la rencontrer Ă nouveau, mais sur tout autre chose â mĂȘme si Muga continue toujours. Clara a des chouettes lunettes et derriĂšre, un regard toujours posĂ© aussi droit, au service dâune voix qui sait oĂč elle va. En lâoccurrence aux manettes de la Kreiz Breizh Akademi (KBA), ce Poudlard de la musique modale (lire plus bas).
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La KBA, en Bretagne, câest difficile de la louper, parce que les promos qui sây sont succĂ©dĂ©es ont laissĂ© des traces dans nos oreilles, quâon soit client ou pas de musique bretonne, tellement le mĂ©tissage y est le maĂźtre mot. Tout ça parce que la musique modale, elle infuse de nombreuses cultures, de la Bretagne Ă lâAuvergne, en passant par le DauphinĂ©, mais aussi lâInde, le Kurdistan, la Turquie, la pĂ©ninsule ibĂ©rique, la Syrie⊠Depuis la premiĂšre promo rassemblĂ©e en 2001, en sont sorties des tĂȘtes dâaffiche dont on vous parle souvent, comme le rappeur Krismenn (KBA #1), les polyphonies fĂ©minines de Barba Loutig (KBA #4), NâDiaz avec Youn Kamm (KBA #3), Maela Le Badezet (KBA #9) ou le trio Fleuves. Câest lĂ quâest nĂ©e la collaboration entre Youn Kamm et Ibrahim Maalouf qui y a fait une masterclass. Car le principe de la KBA, câest de former des musiciens, mais surtout de les faire jouer : tout au long des quatre annĂ©es dâune promo alterneront formation (musicale, technique, administrativeâŠ) enregistrement dâun album et concerts, toujours autour du rĂ©pertoire de Basse Bretagne.
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A la direction artistique, depuis le dĂ©part en retraite dâErik Marchand, câest un artiste associĂ©, ex participant dâune prĂ©cĂ©dente promo qui change chaque annĂ©e. Krismenn pour la KBA #9, et cette annĂ©e, le violoniste Pierre Droual, qui a fait ses armes dans la KBA #5.
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DerriĂšre la porte de la piĂšce oĂč nous discutons, Clara et moi, cinq garçons et cinq filles, dâune vingtaine dâannĂ©es et de toute la France, forment ce dixiĂšme collectif qui bosse dans des lieux diffĂ©rents de Bretagne : Amzer Nevez Ă Ploemeur, La Grande Boutique Ă Langonnet, le Novomax Ă Quimper, Antipode Ă Rennes, et en prime un mois Ă Thessalonique, en GrĂšce.
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La musique modale par Clara
En espĂ©rant que j'ai notĂ© ses paroles correctement : « Contrairement Ă la musique tonale occidentale qui est pensĂ©e comme verticale avec des notes qui sâempilent pour former un accord, dans la musique modale la ligne mĂ©lodique se dĂ©veloppe horizontalement avec des notes qui se baladent entre les notes. Ces notes nâexistent pas sur certains instruments comme le piano, la guitare ou la flĂ»te, mais on peut les rajouter Ă la voix, ou jouer avec des instruments sur lesquels existent des quarts de ton, ou sur des instruments comme les pianos orientaux, le oud, le saz, le violon, le violoncelle, la contrebasse ou des instruments transformĂ©s par des luthiers comme des guitares auxquelles on rajoute des frettes, des accordĂ©ons avec des lames supplĂ©mentaires, ou mĂȘme une harpe quart de ton⊠Tout ça signifie que les techniques dâarrangement sont donc spĂ©cifiques, trĂšs diffĂ©rentes de celles des musiques occidentales comme le jazz ou le rock ».
La musique modale, trĂšs codĂ©e et thĂ©orisĂ©e dans certains pays, est aussi bretonne et populaire, mais chez Drom, Ă Brest, la structure porteuse de la KBA, Erik Marchand a commencĂ© Ă la thĂ©oriser, suivi depuis plusieurs annĂ©es par un groupe de chercheurs et dâexperts en ethnomusicologie.
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Les rendez-vous ouverts au public
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> Veillées bretonnes à la Grande Boutique en mars, avril et mai
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Cette semaine, vous aurez peut-ĂȘtre la chance de gagner une place pour "Fille ou garçon", mercredi 21 fĂ©vrier.
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Envoyez-nous un mail piquant Ă cestparla@sortiesdesecours.com
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Quâest-ce quâĂȘtre une fille ? Un garçon ? Quâest-ce qui nous diffĂ©rencie, nous rapproche ? Des chansons qui parlent dâidentitĂ©, dâaltĂ©ritĂ©, de tolĂ©rance, dâamour, de la difficultĂ© de grandir, de se transformer, du regard de lâautre et de notre propre construction.
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Si vous aimez les filles cascadeuses et les garçons aux cheveux longs, les chansons pas bĂȘtes pour les enfants, les percussions corporelles [Le teaser ICI]
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