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N° 323 - DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2022
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Patrimoine au Haras
Avant la métamorphose. Spectacle. La compagnie Pagnozoo et ses étalons (espagnol, Clydesdale et Shire) évoluent au rythme de la musique de Vivaldi. Des numéros de branche, de liberté, de danse, en solo ou en duo. (A 14h30 et 17h. Durée 40 min)
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Médiations à l'abbaye. Visiter le patrimoine bâti et arboré : l'abbaye cistercienne Notre-Dame de la Joie, la maison du directeur, la maison des confesseurs, les cèdres du Liban et platanes… Des médiateurs seront présents pour apporter un éclairage sur l'histoire du lieu et du Haras. (A 14h, 15h30 et 17h. Durée 20 min)
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Présentation de chevaux. Les fameux chevaux de trait bretons, résidents historiques, mais aussi les autres races comme les Boulonnais, les traits du Nord, le Comtois… (A 16h. Durée 30 min)
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Impérial. Parcours de visite réenchanté. Découvrir une revue des chevaux pensionnaires, la vie de l’époque et les métiers qui évoluaient sur le site, la notion de sélection des étalons. À la manière d'un cabinet de curiosités, l’espace met en avant des objets marquants, réels ou imaginaires et historiques ou banals prenant la parole. (Déambulation libre, 13h30/18h30)
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Jardin des équi'curieux. Tente berbère, carrousel quatre places de métal et de sculptures équines... Ici, les enfants manipulent, comprennent, jouent avec ces installations ingénieuses et durables. (Accès libre, 13h30/18h30)
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Patrimoine à Port-Louis
• Ven 16, sam 17 et dim 18 septembre
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- Exposition Valérie Luong. On croirait que les étoiles sont plus proches. (Gde Poudrière, 15h/19h)
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- Visites historiques sur demande, commentées par le Centre d’Animation Historique du mémorial et du chemin de mémoire, du cimetière et de la ville (Renseignements 06 14 11 41 64)
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- Exposition « Le mariage breton ». (Chapelle Saint Pierre, 14h30/18h30) • Sam 17 et dim 18 septembre
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- Visite du bunker Mémoire (Parking de la radio, 10h/12h et 14h30/17h30)
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- Exposition Gilles et Miléna Le Mao, photographies. (Tourelle Saint François, 10h/12h et 15h/19h)
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- Jeu de piste patrimonial « La Demoiselle Blanche des Remparts » avec Guide et Vous. (Durée 2h, dès 7 ans. A 10h15 à la Chapelle Saint Pierre, retour à 12h30 au Papegaut)
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- Jeu de piste « Le secret du botaniste ». (Durée : 1h30, dès 7 ans. A 15h, château de Kerdurand)
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- Animation épices « Jardiner la mémoire de la ville » senteurs épicées, poivrées, reglissées et pimentées. (Jardin de la Médiathèque Pondichéry, 10h30/17h)
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- Repas des boucaniers par l’AUPL (Port de Locmalo 12h30) + Projection surprise à 15h, La Criée
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La saison du Dôme
Avant le concert, les rendez-vous qui rythmeront la saison culturelle seront présentés. Après le concert, le public pourra échanger avec l’équipe autour d’un verre, en toute convivialité.
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Concert de Victoria Delarozière et Jo Zeugma
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Après deux albums, Victoria Delarozière, chanteuse-auteure-compositrice confie l’orchestration de ses nouveaux morceaux à son fidèle acolyte Jo Zeugma. Rassemblant les plus grandes pointures de la salsa, du jazz, du bal populaire et de la musique classique, ils constituent un grand orchestre hétéroclite aux multiples talents avec onze musiciens sur scène… (Extrait ICI)
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> Vendredi 23 septembre, 20h, Le Dôme, Saint-Avé
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Tropical Fuck Storm
On ne peut qu’insister pour que vous alliez découvrir ce soir (ah oui, c’est court comme délai, mais on a bien vu que vous saviez être réactifs quand il le faut) Tropical Fuck Storm, groupe de rock underground australien au charisme époustouflant. On n’a pas trouvé mieux pour en parler qu’un excellent article signé Lelo Jimmy Batista dans Libé, que vous pourrez lire dans son intégralité ICI et dont on livre un extrait :
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"C'est simple : Tropical Fuck Storm a tout. Les chansons, déjà, qui doivent autant au post-hardcore de Fugazi qu'aux complaintes claudicantes de Bonnie Prince Billy ou au groove bancroche des Slits, et possèdent cet atout rare qui, de Townes Van Zandt à Nirvana, a toujours fait la différence : le sens du tragique. Tout est à la fois abrasif et grandiose, rayonnant et désespéré (...) Ensuite, il y a les paroles, principalement signées Gareth Liddiard, qui gratifie chaque morceau du groupe de stupéfiantes chroniques du désastre contemporain tenant autant du cut-up frénétique que du Dylan fataliste de Blood on the Tracks. Enfin, il y a le magnétisme - évidence absolue, dès les premiers instants sur scène."
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> Jeudi 15 septembre, 20h, Hydrophone, Lorient
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Gloria. Montalvo
Il y a deux cas de figure.
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Le premier, vous connaissez José Montalvo, et, plus que probablement vous adorez, parce qu'il est difficile de ne pas avoir de tendresse pour ce chorégraphe emblématique des années 80/90, pionnier de la vidéo ludique interagissant avec les danseurs, fils spirituel de Méliès ou de Jean-Christophe Averty, cousin par affinités avec Pierrick Sorin, Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino, voisin proche de Philippe Decouflé, mixant les couleurs, les esthétiques, les corps, dans un grand bain graphique, joyeux et métissé.
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Le deuxième, vous ne le connaissez pas, et il va falloir vous précipiter, parce que vous allez bientôt faire partie de ceux qui adorent... (Teaser ICI)
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Les rues barrées
L’Association Baam et les commerçants organisent une journée d'animation avec une programmation électrique et artistique, une journée animée mêlant les genres, pour tout les publics. Pratiques artistiques, rencontres et performances d'artistes, jeux, lectures, dégustations culinaires, concerts et buvette.Et il n'est pas impossible que ce soit assez cool.
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Vite, vite, vite, parce qu'il est tard et qu'on avait oublié de vous en parler, encore un bel évènement qui fait très envie, autour de Proust, qui séjourna du côté de Beg Meil et Fouesnant en 1895. Un séjour qui aurait pu être le déclencheur des premières pages de La Recherche...
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Un temps fort qui propose 25 rendez-vous, à découvrir en lien ICI, et un premier spectacle de rue, ce samedi 17 septembre. Une proposition de l'Archipel.
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Festival Cap Danse
Et alors dis-donc voici un nouveau festival de danse. Un temps de fin d’été, itinérant, dont la volonté affichée est de résonner avec des sites naturels ou patrimoniaux dans et autour de Concarneau (il faudra attendre la prochaine édition pour voir ce vœu se réaliser, pour l’instant, ce sont plutôt des places et des parvis qui accueilleront les premiers spectacles). Organisé par une maison qui a de la bouteille, l’association rennaise Danse à tous les étages, le festival s’est donné pour thématique principale le patrimoine dansé, ce qui nous parait une bonne idée, à l’opposé des diktats de la nouveauté, et du turn-over des créations, que nous déplorons tant. Laisser vivre une pièce, lui donner du temps, revoir, découvrir des chorégraphies anciennes, mythiques, ne pas s’enfermer dans un style, ça, ça nous plait.
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Le festival se promène pendant deux semaines à travers les communes de l’agglo, et on a choisi de vous en parler en deux fois pour ne pas vous faire peur, parce qu’il y a beaucoup de choses, et des choses bien. Rien à jeter dans ce programme impeccable, reste à voir si l’organisation suivra, nous on a tendance à préférer les festivals concentrés sur une seule commune, qui font vivre une ambiance et permettent aux festivaliers de se repérer et se parler… A voir et à suivre.
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Parmi les invités de ce premier week-end, l’indéboulonnable Compagnie Ch’oari, avec « Tsef Zon(e) », gavotte en doc martens ; Olga Dukhovnaya avec « Swan Lake », revisite radicale du Lac des cygnes (hâte de voir ça) ; Filipe Lourenço avec « Pulse(s) », vibrations maghrebines, et la compagnie Pied en Sol avec « La grande roue » hommage taquin au Rond de Saint-Vincent (nouveau spectacle).
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On aime bien leurs ouvertures et leurs clôtures de saison, au Strapontin, souvent bucoliques, ludiques et festives. Cette année, ça se passe dans la prairie du Moulin des ducs, avec l'intervention de la Compagnie du Grand tout, ce sera rigolo et décalé. (Et oui, c'est ce soir, on sait)
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Vendredi dernier, je suis allée faire un tour au Campement artistique de Pen Mané. Et J’ai oublié mon téléphone chez moi (je vois d’ici les gros yeux de mes copines communicantes : ah ben bravo, pas de vidéos, pas de photos, et ton compte Instagram, tu mets quoi dessus ? Parce que oui, je vous le dit jamais, mais Sorties de secours a un très joli petit compte Instagram, auquel vous n’êtes peut-être pas abonné dis-donc.)
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Pas de photo, pas de vidéo, faut que je vous raconte alors : un ancien camping, un peu tristounet mais sauvage, avec de beaux arbres (dont un eucalyptus, dis-donc). Des structures d’accueil temporaires, en échafaudages galva, très réussies, ouvertes, qui rappellent les structures d’Indonésie, légères et aériennes, mais en version indus. Et des chouettes trucs qui se passent de ci de là. Mais pas tout le temps. Et c’est bien le problème pour certains, parce que selon l’heure et la météo, il peut ne rien se passer. C’est le concept. Ne pas être en mode consommation, mais plutôt en mode contemplation. Alors quand on connait plein de monde de ce côté de la rade, ça se passe bien, parce qu’il y a toujours quelqu’un avec qui papoter, mais quand ce n’est pas le cas, que faire ? On vous propose quelques idées :
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1. Faire preuve de patience et méditer (c’est bien ça, non ?) 2. Partir pour une balade dans les marais (c’est très dépaysant, on se croirait dans l’île de Ré) 3. Venir avec un bon bouquin (je suis en train de terminer « Cher connard » de Despentes, je vous raconte ça bientôt) 4. Flirter avec la tireuse à bière. 5. S’abonner au compte Facebook du campement, qui donne les rendez-vous. 6. Lire mes préconisations.
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Aujourd’hui, jeudi 15 septembre, moi, à votre place, je serais allée rencontrer à midi Kizzy Sokombe (l'article à relire ici) ou à 17h, faire un atelier atlas sur la rade avec elle. Et à 13h, je serais allée voir la compagnie de danse Le Pôle avec le chanteur Bring’s.
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Et samedi 17 septembre, je serais allée écouter Soazig Le Hénanff, guide conférencière passionnante, pour un atelier du regard, puis j’aurais découvert avec ravissement la création d’Olga Dukhovnaya, « Swan Lake solo », qui déstructure et réinvente le Lac des Cygnes à sa manière. Bande de petits veinards.
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ICE Festival
On aurait très (vraiment très très) envie d’y être, mais au plus proche de nous il y a déjà tant à faire et à voir ce week-end, que non, on va encore le manquer, ce festival qui nous tente tant. Si vous aimez les trucs vraiment pas dans les clous, et les émotions, allez-y pour nous, s’il-vous-plait….
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ICE, "Ecritures contemporaines interdisciplinaires" est une association dirigée par l’artiste Patricia Allio dont on vous a parlé avec des trémolos dans la voix lors du passage à Lorient de son spectacle Dispak Dispac’h. Le ICE Festival propose une programmation pluridisciplinaire internationale : spectacle vivant, arts plastiques cinéma et littérature. Mettre la marge au centre, c'est ce que Patricia Allio a toujours défendu et souhaite mettre en jeu avec ces rencontres, création collective qui entend rendre visibles les minorités, qu’elles soient sexuelles et de genre, politiques ou linguistiques.
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Depuis 2016, ces rencontres ont rassemblé des dizaines d'artistes, autrices et auteurs, ainsi que des personnalités engagé(e)s autour du thème de « l’autoportrait à », comme Rodolphe Burger, Pascale Breton, André Markowicz, Françoise Morvan, Hélène Labarrière, Annie Ebrel, Léonie Pernet, Mikael Philippeau, Catherine Robbe-Grillet, Assa Traoré, François Chaignaud, Sasha Blondeau…
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En amont et tout au long du festival, sont aussi proposés des ateliers autour de la danse, de la photographie, de la musique et de la performance.
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La convention d'occupation de Transfert, à Nantes, s'achève le 21 décembre 2022. Pour ceux qui aimaient ce site aux faux airs de Burning man à la française, un dernier week-end de fête est prévu. Et pour ceux qui n'avaient jamais eu l'occasion d'y aller, c'est maintenant !
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Rentrée whaouh au Triangle
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Un programme super tentant, qu'on vous glisse ici : Le Club Vérité. Traversé par une forme de désenchantement amusé à la Jacques Demy, Club Vérité se joue du transformisme dans une mise en scène chorégraphique empruntée au burlesque, performance un peu Dada en sept tableaux vivants, jalonnée de costumes et d’objets colorés. Les baigneurs - Clédat et Petitpierre. (photo) Une déclinaison vivante et amusée, pendant laquelle un couple de grosses poupées en maillots à rayures, en tulle plissé, rejoue des scènes de bord de mer. Funny Game - Clédat et Petitpierre. Un ensemble de jouets surdimensionnés, comme un effet de zoom dans une chambre d’enfant. Vénus Parade - Clédat et Petitpierre. Après avoir parcouru les rues du centre de Rennes l’hiver dernier, les six sculptures de Vénus paléolithiques, et les bannières en broderie à leur effigie rappelant les pardons bretons, se posent dans le hall du Triangle. Kaïros. Les mouvements captés par la caméra interagissent avec la musique, votre image est alors projetée sur écran, révélant la picturalité invisible du mouvement. Chansons de gestes - Sylvain Riéjou. initiation à la chanson de gestes, une danse qui illustre et symbolise les paroles d’une chanson
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Georges, drôle de nom pour un festival, si vous êtes curieux, vous trouverez vite l'explication.
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La volière Dromesko, structure métallique de la mythique compagnie Dromesko, sera définitivement installée à Rennes, qui va en prendre grand soin.
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> Inauguration dimanche 18 septembre à 17h30 au 6-8 avenue Henri Fréville, Rennes
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