👁️‍🗨️ On vous emmene au spectacle avec nous

N° 440 - 6 mars 2025

Safari

Le chorégraphe Cédric Cherdel a puisé dans l’imaginaire des cosmogonies, des récits qui forgent et animent inlassablement nos actes et nos pensées pour créer une fiction ethnographique qui met en perspective notre relation à la nature, à notre environnement. Il s’amuse à inventer avec ironie, malice et un brin d’absurdité les interactions d’un groupe dans son environnement pour mettre en abîme les paradoxes qui les habitent, les rassemblent et les opposent. Un spectacle où la voix des interprètes se mêle à la danse, où les chants autant que l’écriture précise invitent au voyage.

> A l’occasion du spectacle Safari, l'Hermine propose de découvrir la cuisine "sauvage".

Au menu (15€, réservation indispensable sur la billetterie en ligne ou par téléphone) : Quiche aux plantes sauvages du moment avec champignon, feta et tomates séchées, pâté végétal préparé à base de lentilles vertes et garni de plantes sauvages au goût de champignon, Salade mesclun de plantes sauvages avec sauce gribiche, Muffin Chocolat/ fleur de sureau).

L’aventure continue de Catherine Pouplain et deux créations de la Jo Coop Cie.

L’exposition vitaminée de l’artiste Catherine Pouplain, dont le vernissage aura lieu avec le spectacle « Souvent la poésie m’emmerde » (Teaser ICI) de la Jo Coop Cie sera le lancement d’un printemps des poètes à Grain de Sel. L’ensemble des artistes se retrouveront pendant 15 jours pour finaliser la création d’une petite forme sous une bulle intimiste pour 17 spectateur·ice·s dès 5 ans à l’issue d’un temps de résidence et de rencontres immersives avec les enfants de deux écoles sinagotes.

> Ven 14 mars à 19h, vernissage et spectacle « Souvent la poésie m’emmerde », gratuit sur résa ICI.
> Sam 5 avril 11h, 14h, 15h15 et 16h30, Création du spectacle « Parce que les vers n’ont pas besoin de pieds pour s’envoler » (teaser ICI), gratuit sur résa ICI
> Plus d'infos ICI

C'est parti pour le Festival Méliscènes !

24e édition du Festival Méliscènes. Marionnettes, théâtres d'objets, c'est LE festival de référence du genre. Réservations ICI

> Du 9 au 22 mars, Pays d'Auray

LE PROGRAMME DE LA SEMAINE EN UN CLIC

Sous les paupières des femmes

La 10e édition d'un festival consacré aux questions féministes. On vous laisse faire votre marché dans le programme ICI.

> Du 7 au 16 mars, Quimperlé

Le programme de Cinéfil, des projections organisées par la galerie l'Ephémère

• Le vendredi 7 mars à 20h30, Salle audio-visuelle de Riantec, "Godard, seul le cinéma", documentaire de Cyril Leuthy, riche d'archives nouvelles réalisé en 2022

• Le dimanche 9 mars à 17h, Salle de l'Artimon de Locmiquélic, "Paradiso", de Giuseppe Tornatore, cinéaste italien qui obtint pour ce film le Grand prix du festival de Cannes en 1989

• Le mercredi 26 mars à 19h, La Criée de Port-Louis, "Moonrise Kingdom", de Wes Anderson, qui fit l'ouverture du festival de Cannes 2012.

Phantom of the Paradise

Les 50 ans du film cultissime de Brian de Palma, "Phantom of the Paradise", avec William Finley, Paul Williams, Jessica Harper. Grand prix festival du film fantastique d'Avoriaz en 1975.

"Swan ... il n'y a pas d'autres noms. Son passé est un mystère. Son oeuvre est déjà une légende. Il a produit son premier disque à 14 ans. Il a introduit le blues en Angleterre. Il a réconcilié le folk et le rock. Son groupe, les Juicy Fruits, a créé de toutes pièces la mode rétro. A présent, il cherche la musique interplanétaire qui inaugurera son Xanadu, le Paradise, le palais suprême du rock. Ce film est l'histoire de cette quête, de cette musique, de l'homme qui la créa, de la fille qui la chanta et du monstre qui la vola."

> Jeu 6 mars à 20h, Ecole d'art, Lorient (orga ciné pour tous)

Concert dessiné. Teenage bed et Léa MKL

Lui s'inspire de la tradition Folk américaine (Elliott Smith, Bill Calahan,...), de la chanson française (Bertrand Belin, Bashung,...) mais aussi de la pop expérimentale contemporaine. Il s'accompagne d'une guitare et d'un lecteur K7 qui déroule des productions musicales enlevées qu’il a bricolé dans le confort de sa chambre adolescente. Léa MKL, très suivie sur Instagram, illustrera en direct les compositions de son acolyte.

> Vendredi 7 mars 19h30 à la médiathèque de Kervignac

> Samedi 8 mars à 20h à La Dame blanche, Port-Louis

Christel Berger-Corre et Sabine Desplats, en résidence à L'Ephémère

Dessins, croquis, peintures, écriture, danse…

Elles cherchent, elles tracent, elles colorent, elles plissent, déplissent, scandent le corps du modèle vivant.

> Elles habitent l’éphémère du 04 au 16 mars. Port-Louis

> Vendredi 14 mars à 18h30, Soirée de clôture avec Christel Berger Corre et Sabine Desplats, accompagnées de Maria-Maï Matrat, Solenn Nicolazic, Fred Périé.

Stage Clown animé par Cécile Meyer de la Cie Hop’ Ad Hoc

"Lors de ces ateliers, nous chercherons l'état de jeu qui permet la naissance du clown grâce à un travail préparatoire physique et technique : travail des démarches, élaboration des silhouettes, recherche de costumes, travail du rythme et des expressions physiques... Nous explorerons les émotions, les gammes, le lâcher prise, l'écriture plateau."

> Sam 15 mars et dim 16 mars, Le City, Lorient De 10h à 17h adultes et ados à partir de 16 ans

> Réservations au 02 97 83 65 76 ou par mail à ptl@cegetel.net. Tarif : 72€ pour 12h de stage

Le processus

Que faire lorsque l’on tombe enceinte à quinze ans ? Comment en parler ? Et surtout à qui ? Le Processus raconte avec finesse une tranche de vie de Claire. Quelques jours de la vie de cette adolescente de 15 ans où tout se joue - où se déjoue, plutôt. Ses doutes, sensations, colères, ses pulsations internes… Ce récit à la première personne permet d’aborder le sujet de l'avortement et de l'entrée en sexualité sans détours et avec sincérité, un sujet intime et universel. Un texte sensible et fort sur l’amour au plus près des adolescent.e.s. On aime l'idée d'aller voir ça au lycée !

> Jeu 13 mars à 20h30 au Lycée Marie Le Franc (orga Le Strapontin) Dès 15 ans

Le Roi se meurt

Le roi est interprété ici par le metteur en scène et clown blanc Jean Lambert-wild, qui via son personnage Gramblanc, déploie depuis plus de vingt ans un jeu et un imaginaire insolites qui trouvent ici un parfait écho. Sans oublier la présence du petit cochon Pompon...

> Jeu 6 mars 20h, ven 7 mars 20h, Théâtre de Lorient/Duras (CDDB)

Culture, quels modèles pour demain ?

Le Conseil de développement du Pays de Lorient-Quimperlé, créé pour construire des passerelles entre les habitants et les élus, invite les acteurs de la culture du territoire et le public à l’acte 3 des Assises de la Culture.

Les échanges seront organisés en trois sessions de 40 minutes, animée par un modérateur et un rapporteur. L’objectif est de favoriser le dialogue autour de plusieurs questions clés : Quel modèle culturel pour demain ? Quelles stratégies face aux crises ? Quel rapport au territoire et aux pouvoirs publics ?

Au programme, des témoignages, des ateliers, des débats...

Invités : Jean-Michel Le Boulanger, auteur et président du festival Étonnants Voyageurs ; Gaëlle Le Stradic, conseillère et commission culture à la Région Bretagne ; La Loco, espace culturel local ; Maison Glaz, portée par Akira Lavault ; Maison Germaine Tillion, avec Amélie Anne Chapelain ; Hydrophone, représenté par Thierry Houal ; L’école d’art EESAB ; Maïlys Princé, créatrice de la chaine Youtube « Bretonne »

> Sam 8 mars de 8h30 à 14h, La Loco, 33 bd de la Gare, Quimperlé

Après "Géraldine en transition", Géraldine Berry revient avec une nouvelle chronique. Au programme, trois, quatre ou cinq idées sur des choses engagées, militantes, citoyennes, et culture !

Cette semaine, on parle des femmes et de leurs droits, de documentaires sur grand écran, de langue bretonne, et d’Afrique. Autant dire que c’est varié !

🟡 Le samedi 8 mars, c’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes. On se rappelle hein, pas la journée de la femme (oubliez les fleurs)… mais de lutte pour leurs droits ! Mobilisez-vous en solidarité avec les femmes du monde entier qui se battent pour leurs droits (y en a qui l’ont fait pour vous avant…). Bref à l’appel de nombreuses organisations dont le collectif féministe #NousToutes, c’est grève générale à Lorient à partir de 14h place Paul Bert. Tous genres bienvenus.

🟡 Lina Soualem filme sa mère l’actrice Hiam Abbass, qui retourne en Palestine 30 ans après avoir quitté son pays pour vivre ses rêves de cinéma et de théâtre en Europe. Ça s’appelle Bye Bye Tibériade et c’est à La Balise le vendredi 7 mars à 20h, avec J’ai vu un doc, en partenariat avec l'Association France Palestine Solidarité et Documentaire sur grand écran, dans le cadre de Best of doc#6 (partout en France, une sélection des 10 meilleurs docs 2024 du 5 au 18 mars).

🟡 On souhaite très très très fort qu’il pleuve dimanche, et ce sera ainsi un vrai plaisir d’aller voir 3h36 de film ! Direct Action est un film en immersion totale dans la ZAD de Notre-Dame-des-Landes au sein de laquelle Guillaume Cailleau et Ben Russell ont filmé entre 2022 et 2023. Besoin d’un peu d’utopie ? C’est pour vous à 15h au Plateau des 4 vents. Toujours avec J’ai vu un doc, toujours en partenariat avec Documentaire sur grand écran, et toujours dans le cadre de Best of doc#6.

🟡 ”C’est pas le même breton”. La pire phrase qu’on peut entendre quand on essaye d’apprendre… Venez écouter ce qu’a à en dire Erwan Le Pipec, maître de conférence à l’Université de Brest, qui en proposera une justement autour de la question “Quel breton parle-t-on à l’école ?” Et si dire que le breton des jeunes générations est totalement déconnecté de celui des ancien·nes est juste… un cliché ? Il a écrit un livre sur le sujet. A L’Embarcadère à l’initiative de l’école Diwan de Lorient et de Emglev Bro An Oriant, le 7 mars à 20h.

🟡 On danse en famille au Bal Marmaille dimanche 9 mars à 17h, un bal-spectacle avec un orchestre, un chanteur, des MC, des histoires… Ça a l’air vraiment sympa (des images ICI), histoire de se défouler un peu dans la salle de L’Estran à Guidel qui pousse les fauteuils pour l’occasion. A partir de 6 ans, tarif unique de 10 euros, on se déhanche pendant 1h30, pour évacuer toutes les petites tensions de la semaine. Ambiance décoloniale garantie. + d'infos ICI

Souvent quand je bouge, je fais des story sur Instagram : @geraldineberry_lorient

Histoire d’un tournage

Matthieu et Nathalie Bobin sont Les Funambules. Une jolie petite galerie, juste en face de la halle aux poissons, à laquelle je pense que je rendais visite à chaque fois que j’allais à Vannes. J’avais fait un sujet il y a longtemps sur le travail de Matthieu, j’aimais aussi leur « tribu » d’artistes, choisis par Nathalie. J’avais souvent des coups de cœur sur le travail de Matthieu, en particulier pour ses fenêtres, à travers lesquelles j’aimais apercevoir ses silhouettes, dansant nonchalamment, un verre à la main, sous des boules de papier japonais mandarine.

Sans paroles, il ne s’agit d’ailleurs pas vraiment d’une histoire, mais davantage d’une série, une centaine de dessins et de toiles. Et le livre serait comme le catalogue d’une exposition qui n’a pas encore eu lieu. Dans l’atelier, toutes les images sont là, vivantes et encadrées. Le livre les résume, mais bien sûr, la réalité, la matière, le grain, parle plus haut, plus dense. « C’est l’équipe du film qui nous a poussés à faire le livre. Ils ont vécu quelque chose qui n’avait jamais été fait : la présence d’un artiste fixait leurs souvenirs »

« Embedded » sur le tournage du dernier film d’Anne Le Ny, « Dis-moi juste que tu m’aimes », tourné à Vannes, Matthieu s’est retrouvé observateur d’une équipe de cinéma installée chez lui :

« Le hasard. On a rencontré la personne qui s’occupait des repérages, qui a aimé notre maison. On a laissé les clefs à l’équipe pendant un mois ». Un mois pendant lequel le peintre n’a pas résisté à l’envie de se glisser dans sa maison, avec un appareil photo et un carnet de dessin. Pas comme un carnettiste, non, mais bien comme un peintre à la recherche de lumières, d’angles, de sujets d’inspiration : « Pour moi, ça a été l’opportunité de creuser un sujet, comme un voyage. J’ai fait beaucoup de croquis et de photos, mais j’ai principalement travaillé en atelier, après, le soir, pour garder l’émotion. Je n’allais pas forcément tout le temps là-bas. J’ai porté un regard de peintre sur le tournage. Un regard contemplatif, sans narration, sur le mouvement ».

Fasciné par les lumières crées par Laurent Dailland, célèbre directeur de la photographie (Place Vendôme, Le Goût des autres, Pars vite et reviens tard…), Matthieu choisit assez vite de reconstituer graphiquement ces tableaux créés par la lumière : « C’est vraiment son travail qui m’a nourri. J’avais envie d’être très fidèle aux lumières créées. Partout où on posait son regard sa lumière créait des tableaux : chaque photo rendait quelque chose ». Le reste, c’est bien la patte de Bobin que l’on retrouve, ses contrastes entre l’ombre et la lumière, ses silhouettes où ce sont plutôt les postures qui racontent une personne, davantage que les détails. Une peinture à la fois économe et très chargée en pigments. Sur la page des remerciements, on retrouve les noms de Felix Vallotton, sans surprise, ses noirs poreux qui créent une ombre dense ; le délicieux Henri Rivière qui a du si bien faire ressembler les côtes bretonnes au Japon ; le dessin précis de David Prudhomme et les magnifiques ambiances d’Emmanuel Guibert (promis, on ne va pas en profiter pour vous en faire l’apologie pour la 94e fois).

Si c’est le tournage plus que le film que l’on retrouve graphiquement, il y a aussi un effet de mix dans le résultat, dans le sens où souvent, ce ne sont pas les comédiens le sujet, mais les technicien·ne·s autour d’eux, dans une lumière destinée à d’autres qu’eux. On discerne des gens, tout le temps en groupe, souvent debout, actifs dans l’attente, attentifs à quelque chose en train de se faire, que l’on ne voit pas, nous. Des équipes, des silhouettes, fondues dans les halos de lumière créant les scènes, et l’obscurité tout autour. Surtout des micros, beaucoup de perches, pour le son. Et des bras tendus pour tenir les perches. C’est beau ces perches avec leur toupet de moumoute au bout, qui strient l’image. Et les projecteurs. Ces halos de lumière dans la nuit, ces perches tendues disent l’étrangeté de ce métier où tout un tas de gens se réunissent pour créer une idée de la réalité imaginée par d’autres. On sent vraiment bien ça dans ces images, et en même temps, quand on connait de travail de Bobin, c’est totalement lui, sa façon de restituer un regard de myope, flottant, attaché à l’ambiance plus qu’aux détails : « Je me suis parfois amusé à reconstruire des scènes, les composer moi-même à partir des lumières. » Pas de starisation. Ce que fait Matthieu n’est pas un reportage : « Je voulais être un témoin, pas un journaliste. C’est un travail d’auteur. Une inspiration. J’ai toujours travaillé avec des personnages inventés, là, je suis resté dans la silhouette, mais avec un souci de ressemblance »

• « Dis-moi juste que tu m’aimes » est actuellement à l’affiche. La bande annonce ICI.

• Les originaux du livre – fusain, acrylique, gouache, mine de plomb, sur papier ou bois - sont exposés du 8 au 23 mars, dans un atelier de litho, Anthèse, 34 rue Perier à Montrouge.
Vernissage le vendredi 7 mars à partir de 16h30

• Le livre (172 pages) est sorti le 27 janvier, édité à 500 exemplaires. Il est en vente à la Librairie A la ligne (Lorient), au Jardin des bulles et chez Cheminant (Vannes), et en ligne sur Ulule ICI

• L’atelier de Matthieu Bobin est visitable sur rendez-vous.

• Les funambules proposeront une exposition dans un lieu éphémère, un appartement place Henri IV, à Vannes, du 16 mai au 8 juin.

• www.lesfunambules.com

Nous avons reçu cette semaine un courrier d'Amzer Nevez, ce centre de culture bretonne situé à Ploemeur. Signifie-t-il la fermeture de ce lieu, qui oeuvrait depuis des années à promouvoir et encourager une culture bretonne moderne et métissée ? Pour l'instant on n'en sait pas plus, et on ne peut que souhaiter que les difficultés ne soient que temporaires...

"Amzer Nevez est en procédure de Sauvegarde judiciaire et malheureusement, la situation financière qui évolue rapidement ne nous permet plus d’assurer notre programmation de concerts. Merci de supprimer nos évènements de votre agenda.

Nous sommes actuellement en en cessation de paiement et le bureau associatif a pris la décision de saisir le mandataire judiciaire afin de demander la liquidation. C’est une page qui se tourne pour toute l’équipe d’Amzer Nevez et ses partenaires."

Envoyez-nous un mail à cestparla@sortiesdesecours.com pour tenter de gagner des places (n'oubliez pas de nous donner votre numéro de téléphone et le titre du spectacle). Cette semaine vous jouez pour Ballake Sissoko & Piers Faccini aux Arcs, Personne n'est ensemble sauf moi, au Théâtre du Blavet, Niquer la fatalité, aux Scènes du Golfe

Niquer la fatalité

Entre Estelle et Gisèle (Halimi), c’est à la vie à la mort. Il faut dire qu’Estelle adore Gisèle pour ses combats, ses convictions, son féminisme qui l’ont aidée à tenir debout et à être la femme qu’elle est aujourd’hui. Estelle raconte et se dévoile, écoute aussi Gisèle dans un dialogue fantasmatique habillé par Margaux Eskenazi, de musique, de chansons-poèmes et de plaidoiries inoubliables. Souvent drôle quand elle joue avec le public, Estelle Meyer n’esquive rien et enfonce le clou : niquer la fatalité d’être une femme, même en déesse victorieuse (nikè en grec). Voir des images

> Jeudi 13 mars 20h, Scènes du Golfe, Vannes

Ballaké Sissoko | Piers Faccini + Ledeunff (1re partie)

Le musicien malien Ballaké Sissoko, virtuose de la kora, et le songwriter anglo-italien Piers Faccini, adepte d’un folk hyper sensible, se croisent depuis de longues années, et s’unissent sur scène pour un concert accompagnant l’album qu’ils ont conçu ensemble et qui devrait sortir en 2025.

Ecouter ICI

> Samedi 15 mars 20h30 aux Arcs, Quéven

Personne n'est ensemble sauf moi

Théâtre documentaire. Aldric, Oussama, Clarisse et Léa sortent tout juste de l’adolescence, avec pour point commun des handicaps dits « invisibles ». Que nous raconte leur prise de parole à l’aube de leur vie d’adulte ? Au centre d’une agora, ils partagent leurs doutes et questionnements sur le monde qui les entoure. Avec sensibilité et enthousiasme ils font vaciller nos certitudes, et nous renvoient au regard que l’on porte à l’autre et à soi-même. Au plateau, acteurs professionnels, musicien live et comédiens en situation de handicap marchent sur un fil entre le joué et le vécu et proposent un théâtre où la notion de normalité n’existe plus. Des images ICI

> Jeu 20 mars à 20h, Théâtre du Blavet, Inzinzac-Lochrist Dès 11 ans

Vous êtes organisateur de spectacles ? N'oubliez pas de publier vos évènements dans l'agenda de Sorties de secours. Gratuit, avec ou sans création de compte, il vous permet de figurer chaque semaine dans le magazine que vous tenez entre les mains ! Clic ici

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