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N° 403 - 16 mai 2024
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Portes ouvertes Ă l'EESAB
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Dessin, peinture, sculpture, photographie, gravure, parcours et stages prĂ©paratoires aux Ă©coles d'art. Venez dĂ©couvrir les nombreux cours publics proposĂ©s par lâEESAB â site de Lorient, ouverts Ă toutes et tous, dĂšs 6 ans ! Cette journĂ©e Portes Ouvertes, c'est l'occasion de rencontrer les enseignants des diffĂ©rentes pratiques, visiter les ateliers de l'Ă©cole et s'essayer Ă la photo !
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> Sam 25 mai â 10h-12h30 et 14h-16h, EESAB, 1 avenue de Kergroise, Lorient
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Concerts, apéros jazz sur le port, concours jeunes talents, un festival qui swingue en bord de mer.
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Du 17 au 26 mai, plus de 100 Ă©vĂ©nements pour faire rayonner la culture bretonne. Concerts, festou-noz, spectacles de rue, marchĂ©s, rencontres sportives, gastronomie, randonnĂ©esâŠ
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Un incontournable de mai. Musées ouverts gratuitement ou à prix réduit, conférences, visites décalées ou mises en scÚne, on vous laisse faire votre choix... > Tout le programme ICI
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François Poivret, Quai d'Ivry, Portrait de Jacques Villeglé, 27 novembre 1989
Collection Frac Bretagne © François Poivret
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Exposition. L'autre musée
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Câest une exposition dâun genre nouveau qui vient de commencer Ă la Galerie du FaouĂ«dic : une exposition-musĂ©e, dâailleurs baptisĂ©e « Lâautre musĂ©e : Les trĂ©sors dâune grande collection dâart contemporain ». Co-organisĂ©e avec le Frac Bretagne, elle propose une expĂ©rience diffĂ©rente des expositions consacrĂ©es Ă lâunivers dâun ou dâune artiste, en offrant un parcours presque musĂ©al au visiteur, qui dĂ©couvrira des Ćuvres majeures du 20e siĂšcle, comme dans une collection permanente. En sâassociant aux 40 ans du Frac, la ville de Lorient bĂ©nĂ©ficie ainsi de « trĂ©sors » en avant-premiĂšre, puisque cette exposition sera prĂ©sentĂ©e ensuite dans les autres dĂ©partements bretons.
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Le choc de lâentrĂ©e Pour constituer le parcours de visite, la Galerie du FaouĂ«dic et le Frac ont travaillĂ© sur « chocs visuels » et dialogue entre les Ćuvres, pour une visite en trois parties. Ainsi lâexposition sâouvre dĂšs lâentrĂ©e sur une premiĂšre Ă©motion, avec plusieurs Ćuvres (annĂ©es 70 et 80) de Jacques VilleglĂ©, artiste français majeur, pionnier du street-art, artiste curieux (auquel le Centre Pompidou avait consacrĂ© une exposition remarquable en 2009), autour de ses prĂ©lĂšvements dâaffiches dĂ©chirĂ©es et recollĂ©es sur des chĂąssis. La mĂ©thode de VilleglĂ© est par ailleurs documentĂ©e dans une trĂšs belle et intime sĂ©rie de photos de lui au travail, en atelier ou en rue, par François Poivret photographe attitrĂ© de grands artistes : CĂ©sar, Olivier DebrĂ©, François Bouillon, Antonio Saura, Brice Marden...
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Sur lâautre mur, le visiteur aura la chance dâaller Ă la rencontre de Shirley Jaffe, peintre fĂ©ministe amĂ©ricaine de lâĂ©cole de New-York, dont les compositions semi-abstraites aux couleurs vives, entre Matisse et le Cubisme, plongent dans lâhistoire de lâart moderne amĂ©ricain.
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Le choc de la grande salle On ne sait trop sâil faut la garder pour la fin ou filer directement, avec gourmandise, sâinstaller devant le mur des Soulages, deux peintures et trois estampes. On le sait, Pierre Soulages, immense figure de lâart moderne, câest le noir, un « outrenoir » jamais vraiment noir, fait de reliefs et de reflets. Quâon lâaime ou quâon le dĂ©teste, on ne peut rester passif devant ses Ćuvres, puisquâelles imposent la mobilitĂ© au visiteur, pour y trouver la couleur et la lumiĂšre dans le noir, et invitent Ă une forme de mĂ©ditation et de plongĂ©e dans la matiĂšre. GrĂące Ă la gratuitĂ© de lâentrĂ©e, on peut donc ainsi rendre visite Ă Soulages quotidiennement â ou presque â pour apprivoiser lâunivers de ce monument de la peinture abstraite. Dans cette mĂȘme salle, au sol, on retrouvera une Ćuvre de Richard Long (grande figure du Land-Art, Ă©galement prĂ©sent dans le parc de sculptures de KerguĂ©hennec) un cercle puissant, fait de pierres ; une vidĂ©o dâOlivier Laric, artiste autrichien, qui s'illustre dans le courant artistique dit « post-internet » depuis 2006, et une trĂšs belle sĂ©rie de variations numĂ©riques, hommage Ă CĂ©zanne et Ă la Sainte-Victoire, signĂ©es Vera Molnar, pionniĂšre du codage informatique dans lâart.
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Le choc de lâĂ©tage LĂ encore, de grands noms, avec des artistes prĂ©sents dans les plus grands musĂ©es internationaux, avec les trĂšs belles images de prostituĂ©es, touchantes et colorĂ©es, de Paz ErrĂĄzuriz, photographe chilienne, fĂ©ministe, engagĂ©e, qui s'intĂ©resse aux communautĂ©s marginalisĂ©es ; avec une sĂ©rie de drapeaux de Tania Mouraud, qui travaille sur la performance et les informations ; avec une vidĂ©o de Maja Bajevic, performeuse fĂ©ministe, qui se filme manipulĂ©e par des hommes avec violence ; avec Martha Rosler, star de la photo de stars (elle a beaucoup travaillĂ© avec le magazine LIFE) et ses montages, quâon vous laisse regarder avec attention pour les comprendre ; et enfin avec Marion Scemama & David Wojnarowicz qui consacrent une vidĂ©o poĂ©tique au milieu des gays et performers dans le New-York des annĂ©es sida.
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Le Frac en deux mots (Fonds RĂ©gional dâArt Contemporain). Ils sont 22 en France, ces centres crĂ©Ă©s dans les annĂ©es 80, dont la mission est dâacquĂ©rir des Ćuvres contemporaines majeures dans le but de construire une collection sur un territoire, et la dĂ©ployer en direction du public. Des « collections nomades », selon Etienne Bernard, directeur du Frac Bretagne, basĂ© Ă Rennes, « destinĂ©es Ă aller Ă la rencontre des habitants, Ă la fois hors-les-murs, dans le champ social, pĂ©nitentiaire, scolaire, hospitalier, et bien sĂ»r par le biais dâune dizaine dâexpositions par an ». La collection du Frac comprend 5600 Ćuvres abstraites et figuratives de plus de 1500 artistes de 125 nationalitĂ©s : sculptures, vidĂ©os, photos, installations, textiles, peintures, tout en respectant la paritĂ© de genres â une contrainte qui, aujourdâhui, fait partie du rĂšglement des instances, mais fait aussi partie des prĂ©occupations de Madeleine Louarn, prĂ©sidente du Frac Bretagne depuis janvier 2023. Ainsi, cette annĂ©e, 14 Ćuvres dâartistes fĂ©minines ont-elles Ă©tĂ© achetĂ©es, contre 11 dâartistes masculins, pour un budget total de 230000 euros.
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Un article Ă©crit par Isabelle Nivet pour la Ville de Lorient
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đïžâđšïž DANSER !
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Le Bal décalé des ABC (Mouiller sa chemise en mode balkanique)
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Les ABC (Ateliers du Bout de la cale) organisent leur 3e bal dĂ©calĂ©, et on pense que ça va ĂȘtre bien. Si vous aussi vous avez besoin de danser, faites-vous belles et beaux et allez guincher.
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Thé dansant de printemps (Alternative au bal DJ)
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Renouant avec la tradition des bals à l'hÎtel de ville, la Ville de Lorient propose un thé dansant au salon d'honneur, les 22 et 23 mai, de 14h à 16h30. Réservé aux lorientais ùgés de 65 ans et plus. > Renseignements ICI
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Bal des migrations (Bal alternatif en mode Ă©co)
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Pour se retrouver, sâamuser, dĂ©couvrir, partir en voyage prĂšs de chez soi, LâEstran a conçu le Bal des Migrations. Concerts et bal en pleine nature, possibilitĂ© dâhĂ©bergement sur place, et ateliers pĂ©dagogiques le lendemain, en partenariat avec lâĂźlot Kergaher (Tiers lieux de transition Ă©cologique).
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đïžâđšïž LES EXPOS DU MOMENT
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⹠Yves Grouazel, ses paysages d'herbe desséchée par le soleil, été sans fin, chez Pigments, Lorient
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⹠Magma, le papier à l'oeuvre. Des papiers faits à la main, à la MédiathÚque de Quéven
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⹠Tandem, un exposition en collab avec Syklett, sur le vélo, chez Baam, Lorient
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âą Mastabilo, notre binĂŽme de "Artybao", et ses gravures, Ă La Rotonde de Lanester
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đïžâđšïž DEUX PROPOSITIONS SUPER TENTANTES
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âą ApĂ©ro musical "HĂ©rouville, le chĂąteau du rock". les studios dâenregistrement du chĂąteau dâHĂ©rouville, dans le Vexin, furent un des hauts-lieux de la musique durant les annĂ©es 70. Elton John, Pink Floyd, Higelin, Bowie y ont sĂ©journĂ©. La confĂ©rence raconte cette histoire.
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Une coorganisation Echonova et Cinécran avec un concert de Festen "Replicant, a Musical Odyssey", puis la projection du film Blade Runner, de Ridley Scott, avec Harrison Ford (1982)
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On a eu du mal Ă faire notre sĂ©lection, qu'on a quand mĂȘme faite histoire de, mais vous pouvez tout aller voir, rien Ă jeter dans le programme. Presque tout est gratuit.
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⹠Au risque de. Un petit commando formé par les élÚves de l'école de cirque de Bordeaux, chorégraphiés par le grand chorégraphe Thierry Thieu Niang. TrÚs simple, spontané, un temps de danse à choper dans l'espace public, 20 minutes de mouvement et de plaisir.
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âą Cyrano Bis. Du thĂ©Ăątre de rue, oĂč comment, sans artifices ni costumes, des comĂ©diens, qui tirent la partition au sort, viennent vous chercher dans l'espace de rue et vous emmener dans l'univers d'un des textes les plus connus du thĂ©Ăątre français, le Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand.
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âą Les NaufragĂ©s. Le gros temps fort du festival. Une scĂ©nographie de dingue, immense voilier, carcasse posĂ©e au milieu des carcasses du cimetiĂšre de bateau de Kerhervy, oĂč le dĂ©cor naturel vient se mĂȘler au dĂ©cor fabriquĂ©. Si vous avez aimĂ© "Dark was the night" cet hiver, c'est Emmanuel Meirieu qui signe Ă nouveau cette piĂšce Ă ne pas rater...
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⹠Les bonnes. Un texte de théùtre mythique, signé Jean Genet, et surtout, un lieu inattendu et trÚs attirant. Le spectacle sera donné à la Villa Kerlilon, résidence du Commandement de Marine (C0MAR), rarement ouverte au public. C'est son escalier à double révolution qui a emballé les deux comédiennes, anciennes académiciennes de la Comédie Française.
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âą Choeur des amants. Un trĂšs beau texte de Tiago Rodrigues, directeur du festival d'Avignon, que vous avize peut-ĂȘtre vu la saison derniĂšre Ă Lorient. Ici c'est une lecture, avec Antoine de La Roche et la formidable Lena Paugam que vous avez vue cet hiver dans Ode Maritime.
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⹠Le sacre du printemps. Ah, ça, ne le manquez pas !
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Vous l'avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ vu, il y a dix ans, avec un groupe de Lorientais de plus de 60 ans. Cette annĂ©e, certains seront Ă nouveau prĂ©sent, en compagnie d'autres danseurs amateurs de tous Ăąges, pour former ce cercle fou, Ă la fois voix commune et individualitĂ©s marquĂ©es, ce cercle fou qui tourne et court pendant 44 minutes au son d'une des plus belles bandes son de la musique du 20e siĂšcle, oĂč Stravinsky nous porte jusqu'Ă l'Ă©puisement et l'extase...
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Il y a dâabord eu cette affiche.
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« Jâai regagnĂ© lâabĂźme gorgĂ© de soleil et de feu, refermĂ© le cocon immense »
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Jâai remarquĂ© la typo, particuliĂšre. J'ai notĂ© la mise en page, graphique.
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Et puis ce nom, KaĂŻros Effect.
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Je ne savais pas trop ce que câĂ©tait.
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Jâai vu passer des choses sur les rĂ©seaux sociaux.
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Je lâai rencontrĂ©e, elle, lors dâun atelier. Je lâai rencontrĂ©, lui, Ă un vernissage.
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Et puis cette annonce dâune rĂ©sidence dâeux deux. Jâai pris rendez-vous.
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Jâai vu des choses. Jâai entendu des sons. Jâai lu des textes. Je les ai Ă©coutĂ©s, eux.
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Et je me suis dit que non, je ne pouvais pas ne pas vous laisser faire le chemin seuls.
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Et je me suis dit que je devais vous laisser rencontrer une chose qui est si singuliĂšre.
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Et je me suis dit que je ne voulais pas ĂȘtre celle qui dĂ©voile, qui explique, qui dĂ©crit.
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Et je me suis dit que si vous le vouliez bien, vous feriez peut-ĂȘtre une rencontre.
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> Jeudi 16 mai Ă partir de 19h. Atelier OOooh, 19 rue Joseph Talvas, Lorient.
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Soirée performances, installations, déambulations
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Vingt-cinq Ă©tudiant.es en 2e annĂ©e de lâEcole dâArt ont prĂ©parĂ© une soirĂ©e autour de la notion de temporalitĂ©, inspirĂ©s par les volumes et les espaces atypiques dâHydrophone. Ce travail sâinscrit dans le module « Les objets du rĂ©cit, les choses pour le dire », encadrĂ© par G. Peignard et D. Bideau.
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> Ven 17 mai Ă 20h, Hydrophone â Face A, Lorient. Gratuit
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Stage de scĂ©nographie Espace et son : deux dimensions dramatiques âą Le duo dâintervenants Vincent LefĂšvre et Jo Zeugma propose d'explorer les possibilitĂ©s quâoffrent les techniques du spectacle vivant pour exprimer une tension dramaturgique âą Le ThĂ©Ăątre Amer dirigĂ©e par Mathieu Coblentz et accueillie cette saison avec le spectacle Peter-Pan navigue dans ses crĂ©ations avec la conviction profonde que technique et art sont les deux faces dâune seule piĂšce. > Sam 18 mai 13h-19h, dim 19 mai et lun 20 mai 10h-17h. Il reste 2 places.
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Un projet de la Cie « Y a un trou dans le mur »
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MĂȘme longueur des journĂ©es. MĂȘme boule au ventre le matin. MĂȘme monotonie. MĂȘme fatigue et mĂȘmes douleurs. MĂȘme harcĂšlement, mĂȘme autoritĂ©. MĂȘme absence dâespace de parole pour dire le quotidien, dire le difficile.
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CollĂ©giens et ouvriers emploient les mĂȘmes mots pour Ă©voquer leur quotidien lorsque lâon se donne la peine de les interroger trĂšs prĂ©cisĂ©ment, comme lâont fait Julien et Sophie. A partir dâun questionnaire trĂšs prĂ©cis, ils recueillent la parole dâouvriers partout oĂč ils passent, cherchant avant tout les mots de la rĂ©pĂ©tition, les mots du corps. Des mots qui vont se tisser avec les gestes des danseurs, une bande-son unique et diffĂ©rente pour chaque reprĂ©sentation (ParallĂšlement, la compagnie a menĂ© le mĂȘme projet avec des collĂ©giens, toujours Ă lâEscale Brizeux, avec des questions similaires, adaptĂ©es au milieu scolaire, pour une reprĂ©sentation spĂ©cifique). « Nous avons un temps de rencontre dans chaque endroit oĂč nous donnons le spectacle, pour recueillir la parole. A chaque fois, nous recrĂ©ons une nouvelle bande-son ». Le projet, Ă Lorient, a Ă©tĂ© accueilli par le Centre Social Brizeux, qui a servi de base pour cette collecte de tĂ©moignages dâouvriers dâusines. Une vingtaine de personnes a participĂ©, avec « plaisir, fiertĂ© et Ă©motion de se livrer sur leur vie : tous Ă©taient chamboulĂ©s ». Des hommes et des femmes de tous Ăąges, enregistrĂ©s individuellement sur la base du mĂȘme questionnaire quâĂ la crĂ©ation du spectacle, en 2019 Ă QuimperlĂ©. Un questionnaire trĂšs concret sur la routine du travail, une journĂ©e type, leur tenue de travail, les odeurs, les cadences, les sensations, les pensĂ©es, les gestesâŠ
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« Je prends lâaileron de la dinde dans la main et jâenfonce mon couteau et puis, je sais pas comment expliquer⊠Un geste de rotation avec le poignet pour couper, quoi, câest tout. CâĂ©tait ça toute la journĂ©e »
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Ces gestes rĂ©pĂ©titifs, ils servent aussi Ă la chorĂ©graphie, dont certains passages seront repris par les tĂ©moins, qui se joindront aux sept danseurs. Des danseurs contemporains parmi lesquels on retrouve Damien Rouxel, plasticien et performeur que les Lorientais connaissent bien depuis ses expositions Ă lâAtelier Marcelin et Ă la Galerie Le Lieu (et quâon aime beaucoup Ă Sorties de secours). Des danseurs qui interprĂštent une partition sur les gestes rĂ©pĂ©titifs, trĂšs intense, trĂšs physique, avec un partenaire qui brille, le feu, dans une esthĂ©tique Ă©purĂ©e mais forte « Pas pour faire des effets, mais pour la matiĂšre. On danse avec. Ce sont de simples copeaux de bois qui brĂ»lent au sol », et une crĂ©ation musicale atmosphĂ©rique plutĂŽt Ă©lectro, signĂ©e Quinquis (Emilie Tiersen).
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> Ven 24 mai Ă 21h30 (restauration dĂšs 19h30), Estacade du quai de Rohan, Lorient. Gratuit
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đïžâđšïž Rouge feu a Ă©tĂ© primĂ© par Fondalor, Fonds de soutien aux artistes
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La Cie « Y a un trou dans le mur » a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 2017 Ă QuimperlĂ© par Julien Barazer (auteur de scĂ©narios, metteur en scĂšne et rĂ©alisateur, qui sâintĂ©resse spĂ©cifiquement au travail ) et Sophie Pellerin (ChorĂ©graphe et directrice de la compagnie). Elle conçoit des spectacles en rue ou en salle (CrĂ©dit Photo : Christophe Plo)
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La nouvelle édition du festival Etonnants voyageurs, et son affiche signée Miles Hyman (miam). Romanciers, poÚtes, essayistes, cinéastes, auteurs jeunesse, créateurs de bandes dessinées.
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Vous avez des amis, des parents, des collĂšgues, qui ne nous connaissent pas ?
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