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N° 423 - 31 octobre 2024
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Cette année, retrouvez le Festival Les Indisciplinées pour sa 19e édition du 1er au 11 novembre 2024.
Naviguant Ă travers des esthĂ©tiques musicales multiples, entre Ă©lectro pop, rock, indie pop, folk, musiques traditionnelles, et techno, Les IndisciplinĂ©es rythmeront tout le dĂ©but du mois de novembre. A Lorient, Lanester, QuĂ©ven, Inzinzac-Lochrist et Vannes, plus de 25 artistes venus de tous horizons se succĂšderont, quâils soient Ă©mergents ou confirmĂ©s. Au total, 8 jours de concerts et de spectacles jeune public composeront ces deux semaines de fĂȘte.
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Programmation : French 79 ⹠IrÚne Drésel ⹠Robert Finley ⹠Beak> ⹠Porridge Radio ⹠Corridor ⹠Lysistrata ⹠Lucie Antunes ⹠Gablé ⹠Feldup ⹠8 Sonneurs pour Philip Glass ⹠Gift ⹠Alias ⹠Craze ⹠Jessica Winter ⹠Bibi Club ⹠Anastasia Coope ⹠Maddy Street ⹠Cucamaras ⹠C Turtle ⹠Youff ⹠Trainfantome ⹠Bacchantes ⹠Cheval de Trait ⹠Muddy Gurdy ⹠Black Bones : Oh Yeah! Oh Yeah! ⹠Plastic Monsters - Plastic Party ⹠Rollier ⹠Le Secret ⹠Apéro Sonore Secret ⹠Arnaud Le Gouëfflec "Vivre libre ou mourir"
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Robert Finley est une des voix soul et blues majeures des grands bluesmen du sud. Une voix profonde qui bouleverse, qui traverse et qui enivre. De celles qui vieillissent dans un baril de bourbon et mĂ»rie dans les bayous de Louisiane vous attrape durablement par lâoreille.
Il aura attendu 63 ans pour dĂ©marrer sa carriĂšre discographique, montrant ainsi quâil nây a pas dâĂąge pour rĂ©aliser ses rĂȘves. Il conte des histoires personnelles inspirĂ©es de son enfance en Louisiane Ă lâĂ©poque de Jim Crow et de la sĂ©grĂ©gation. Des rĂ©cits de douleur ponctuĂ©s de joie et dâespoir quâil dĂ©livre sur des orchestrations blues et de cette soul rugueuse du sud. Ă la veille de sa date parisienne, il sera aux Arcs dans le cadre du festival Les IndisciplinĂ©es. [Ecouter ICI]
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Un mois de propositions artistiques tous azimuts, avec des expositions, des concerts, du théùtre, de la danse, des conférences, des films, de la gastronomie, des ateliers... Un mois irlandais pour s'imprégner d'une autre culture. Le programme est riche et il lui faut plusieurs pages pour se dévoiler. Retrouvez-le ICI.
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> Du 5 au 30 novembre, L'Hermine, Sarzeau
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Un festival de science-fiction, mais le titre est un peu réducteur. Parmi les invités, deux nous ont fait de l'oeil, la dessinatrice Emil Ferris (Moi ce que j'aime, c'est les monstres) et son univers graphique halluciné et hallucinant. Et Alain Damasio, qu'on peut écouter en boucle pendant des heures.
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L'avez-vous vue ou pas, Leila Ka ? La soeur de Zaho de Sagazan danse et chorégraphie avec un langage trÚs singulier, typé, entre grùce et danse urbaine, on vous en a déjà fait des caisses sur cette danseuse qu'on adoooore, mais vraiment, ça ne se loupe pas, si vous ne l'avez pas encore découverte, foncez, c'est LA case à cocher dans un parcours de spectateurice.
Mer 6 et jeu 7 nov à 20h au Théùtre de Lorient
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La semaine de J'ai vu un documentaire
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Un programme de 5 courts mĂ©trages drĂŽles et poĂ©tiques qui fera dĂ©couvrir aux enfants une famille de circassiens du dĂ©but du 19e siĂšcle, une petite souris courageuse et maligne, une vraie magicienne qui a plus dâun tour dans son chapeau, un chevalier en pĂąte Ă modeler, une maison en Ă©quilibre sur le sommet dâune montagne.
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De Piero Usberti. Avant-premiĂšre (sortie nationale le 6 nov)
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FR-Italie - 2024 â 67 min â vostf
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"Ă Gaza, il faut arriver le soir au printemps, sâenfermer dans sa chambre et Ă©couter les sons qui entrent par les fenĂȘtres ouvertes⊠Nous sommes en 2018. Jâai 25 ans et je suis un voyageur Ă©tranger. Je rencontre de jeunes palestiniens de mon Ăąge. Sara, humanitaire, Mohanad, communiste convaincu, Jumana, aspirante avocateâŠ"
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Jacques LACAN, la psychanalyse réinventée
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Psychiatre et psychanalyste, héritier de Sigmund Freud, Jacques Lacan fut l'initiateur d'un véritable réveil de la psychanalyse en France et dans le monde. Clinicien de la folie, de la paranoïa, il s'inspira de la philosophie allemande pour bùtir de nouveaux concepts.
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Dans la programmation Off des ItinĂ©raires graphiques, lâAtelier Marcelin (PropulsĂ© par Sylvain Le Corre et Elen Cornec, qui ont fait de leur maison une plateforme dâexposition atypique pour les jeunes artistes) a conçu une proposition qui prend le contrepied de lâesthĂ©tique globale de cette Ă©dition, ultra graphique et colorĂ©e.
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« Doux rĂȘves » - qui rassemble quatre artistes montants, voire reconnus, et cette fois dâorigine non pas bretonne mais internationale (Wells Chandler est New-Yorkais, Nina Cosco belge, mais Hilary Galbreaith et Simon Toulan français) â investit le rez-de-chaussĂ©e et lâĂ©tage de lâAtelier Marcelin dans une tonalitĂ© de rose poudre et de vert grisĂ©, qui parait douce et enfantine au premier abord mais qui ne lâest pas forcĂ©ment : « Il y a un cĂŽtĂ© licorne et grinçant en filigrane. Un lĂ©ger dĂ©calage. La forme et la couleur ont un cĂŽtĂ© sĂ©ductif qui bascule dans lâĂ©trange et le queer ». On ne saurait donc trop vous conseiller de fourrer votre nez dans ces quatre univers alternatifs et singuliers, qui dialoguent les uns avec les autres sans y perdre leur Ăąme, et qui cachent sous des abords esthĂ©tiques des prĂ©occupations militantes.
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Par ordre alphabĂ©tique, donc, Chandler, maĂźtre de confĂ©rence Ă New-York en histoire de lâart queer travaille sur le lien et lâhĂ©ritage, avec de grandes piĂšces tricotĂ©es mises Ă plat. Cosco, elle, propose une sĂ©rie de tapisseries comme des Rothko textiles, ainsi que des dessins ultra stylisĂ©s, subtils, sur des papiers trĂšs trĂšs fins, dans un univers proche de lâabsurde, des situations du quotidien qui font symbole. Toulan, en rĂ©sidence Ă lâatelier Marcelin depuis un mois, explore la cĂ©ramique Ă plat avec des piĂšces assemblĂ©es et des peintures murales faites dâun mĂ©lange de pigments et de terre, jouant avec le dessin bien fait/mal fait. Enfin Galbreaith propose des images, dessins ou vidĂ©os, documentaire expĂ©rimental, comme une sitcom, qui embarquent dans un univers ambivalent, Ă la fois pastel, enfantin, onirique, qui fait Ă©cho Ă de nombreux mouvements artistiques ou sociĂ©taux.
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Comme pour Damien Rouxel, leur prĂ©cĂ©dente exposition, Cornec et Le Corre ont le talent pour choisir des artistes sur lâavant-derniĂšre marche avant la grande notoriĂ©tĂ©, câest donc toujours une bonne idĂ©e dâaller presque dĂ©couvrir ces artistes Ă©mergents, dont la carriĂšre commence Ă frĂ©mir au niveau international. « On aime arriver juste avant le dĂ©clencheur pour une jeune crĂ©ation identifiĂ©e mais encore sans galerie. On suit leur travail depuis longtemps, comme Hilary, quâon avait vue Ă La Passerelle, Ă Brest, ou Wells, repĂ©rĂ© Ă la Galerie Eric Mouchet Ă Paris. Nina, elle, fait partie de la maison dâĂ©dition « Lâassociation » et elle Ă©tait en arts appliquĂ©s Ă Rennes avec Sylvain. Simon, lui, vient des Beaux-arts de Rennes et est bien parti pour obtenir une bourse de soutien Ă la jeune crĂ©ation »
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Vous connaissez bien, Ă prĂ©sent, Pauline LâHarridon, et son atelier-boutique « Pigments ». Pauline, transfuge de Baam, organise rĂ©guliĂšrement des expositions dâartistes complices, mais travaille Ă©galement dans son atelier sur de grands formats, encre ou peinture. On vous a plusieurs fois parlĂ© de ses grandes fleurs un peu rĂ©tro, au style graphique marquĂ© par des couleurs denses et des tracĂ©s noirs formidables quâon aime vraiment beaucoup. Pour cette nouvelle exposition de son travail en cours, Pauline a choisi dâexplorer lâabstraction, enfin, une forme dâabstraction qui parle du paysage tel quâelle sâen souvient. « Je ne travaille jamais dâaprĂšs photo. Je convoque mes souvenirs. Il se trouve que je ne retiens pas les prĂ©noms, mais que jâai une mĂ©moire photographique. Les ambiances, les lumiĂšres, les couleurs restent en mĂ©moire et je traduis sur la toile ce que jâai ressenti. Ce sont des souvenirs de voyages, de lâeffet que mâa fait le paysage, de ce que ça mâa procurĂ©âŠÂ».
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Ainsi se rassemblent sur les murs des paysages cĂŽtiers, des fouillis vĂ©gĂ©taux, que lâon peut interprĂ©ter avec ses propres sensations, sans vraiment que lâartiste impose sa vision. Falaises ? Arbres ? Lacs ? Ambiances portuaires ? Horizons ? Lever de soleil ? Ces paysages suggĂ©rĂ©s, indistincts, permettent une forme de contemplation, invitent Ă sâabĂźmer dans la couleur et les lumiĂšres, grĂące Ă un travail patient oĂč le temps fait pour beaucoup : « Je ne peint jamais dâune traite. Je structure ma composition, horizontale, verticale, proche, Ă©loignĂ©e. Je crĂ©e des transitions entre lâeau et la terre pour donner du mouvement. Je pose des aplats en couches successives pour apporter de la matiĂšre, de la lumiĂšre. Je mets en pause et jây reviens. Câest toujours comme ça que je procĂšde, mĂȘme avec les fleurs ». Le rĂ©sultat, puissant, dense en couleur, conserve le petit twist qui caractĂ©rise lâartiste, des touches dâun rose presque fluo qui apporte Ă la fois de lâĂ©trangetĂ© et du piquantâŠ
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Dans le programme du ThĂ©Ăątre de Lorient, depuis la premiĂšre saison signĂ©e par Simon DelĂ©tang, figure dĂ©sormais un dispositif baptisĂ© « ItinĂ©rance ». SĂ©parĂ© du reste de la programmation, il est peut-ĂȘtre un peu moins visible, aussi avons-nous eu envie dâen savoir un peu plus et dâattirer votre attention sur ces propositions qui prĂ©sentent lâavantage dâĂȘtre diffusĂ©es au plus prĂšs de chez vous, dans tout plein de communes de Bretagne sud.
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Pour cela, nous avons passé un moment avec SolÚne Bodereau, chargée du dispositif au Théùtre.
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ItinĂ©rance est un projet de dĂ©centralisation voulu par Simon DelĂ©tang, qui fait suite dâun cĂŽtĂ© Ă ses projets dans son prĂ©cĂ©dent mandat Ă Bussang, lorsquâil parcourait les Vosges en randonnĂ©e pour donner des spectacles dans de trĂšs petits villages, et de lâautre aux premiĂšres tentatives de son prĂ©dĂ©cesseur, Rodolphe Dana, Ă la suite du confinement avec le Feuilleton Bovary. Pour SolĂšne, ItinĂ©rance fait Ă©cho avec les projets quâelle a suivi lorsquâelle Ă©tait Ă la ComĂ©die de Valence. Elle appelle ça du « thĂ©Ăątre de terrain ».
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Jouer dans une salle d'escrime
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ItinĂ©rance est une programmation bis, en parallĂšle, mais pas dĂ©tachĂ©e. ComplĂ©mentaire. Et ni plus ni moins « bien » que les autres. « Les spectacles sont parfois donnĂ©s en avant-premiĂšre, avant de partir en tournĂ©e nationale ». Nomades, ces spectacles sont simplement plus lĂ©gers en termes de scĂ©nographie, pour des raisons Ă©videntes de « portabilitĂ© ». Pour SolĂšne : « Il faut pouvoir jouer nâimporte oĂč, depuis la salle des fĂȘtes jusquâĂ lâĂ©cole, en passant par le centre social ou lâhĂŽpital, un gymnase, une salle dâescrime⊠On voulait retrouver quelque chose de simple : raconter des histoires devant les gens. DĂ©sacraliser. Pour le public, se retrouver avec leurs voisins dans un endroit familier, lĂ oĂč ils vont faire le don du sang, oĂč ils vont voter, dans des jauges de maximum cent personnes, ça peut ĂȘtre plus facile. Avec les communes partenaires, on organise systĂ©matiquement un pot ou un repas, qui permettent un temps dâĂ©change avec les artistes. On ne veut pas arriver et repartir dans la foulĂ©e : ça fait partie de notre cahier des charges dâaller au contact du public. En gĂ©nĂ©ral les gens sont contents quâon vienne jusquâĂ eux, et surpris de la facilitĂ© dâaccĂšs des artistes. ». Dâautant plus que (bon plan !) ces places de spectacles sont gĂ©nĂ©ralement gratuites ou trĂšs peu chĂšres.
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Alors quand on habite PloĂ«rdut, Meslan, Groix, Langonnet, Bignan, Plouray ou Pontivy â mais aussi quand on vit Ă LocmiquĂ©lic - câest plutĂŽt chouette de retrouver le rituel du thĂ©Ăątre en bas de chez soi⊠« Certaines personnes aimeraient aller plus souvent au thĂ©Ăątre, mais elles trouvent ça loin ; ça peut ĂȘtre compliquĂ© pour le stationnement, ou simplement de conduire la nuit⊠ItinĂ©rance permet de lever certains freins. Câest un premier pas ». Un premier pas qui permet de pousser la porte plus facilement, et les statistiques le prouvent, la frĂ©quentation du CDN sâest ouverte sur les communes Ă©loignĂ©es, par ricochet. Il faut dire que lâĂ©quipe nâa pas lĂ©sinĂ© sur les moyens : quarante dates la saison derniĂšre, mĂȘme chose cette saison « mais lâidĂ©e câest de dĂ©ployer le dispositif encore plus ».
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En amont, SolĂšne accompagne les partenaires Ă mobiliser le public, en parlant des spectacles dans les Ă©coles, ou mĂȘme au sein du Conseil Municipal. « Parfois mĂȘme on emmĂšne des groupes en bus Ă Lorient. Cela permet une petite aventure collective, avec un accueil privilĂ©giĂ©. Et ça permet aux voisins de se parler⊠». Un traitement VIP Ă petit prix !
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Les villes concernées pour la saison 2024/25
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Groix, Ploemeur, Lorient, Hennebont, Port-Louis, LocmiquĂ©lic, Riantec, LandĂ©vant, LocminĂ©, Saint-Jean-BrĂ©velay, Vannes, Pontivy, Lomalo, GuĂ©menĂ©-sur-Scorff, PloĂ«rdut, Plouray, Gourin, Meslan, Plouay, QuimperlĂ©, Lanester, Larmor-Plage, Le Saint, Langonnet, Bignan, ClĂ©guerec, Rostrenen, Concarneau, Penmarâch, BernĂ©, Josselin.
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Vingt communes â « On essaye de ne pas empiĂ©ter sur les zones des autres salles » - pour 3000 spectateurs lâan dernier, et quatre spectacles en tournĂ©e cette saison.
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⹠« Retours », de Simon DelĂ©tang, dâaprĂšs un texte de Fredrik Brattberg (photo ci-dessus).
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⹠« Sur lâaile dâun papillon » dâEmmanuel Meirieu. Bignan 28 et 29/11
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Le songe d'une nuit d'été
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Un Shaskesqueer dĂ©jantĂ© pour 8 acteur.rices et 15 marionnettes. Cette adaptation survoltĂ©e et dĂ©lurĂ©e est avant tout une comĂ©die, un genre de vaudeville fĂ©erique. Une Ă©popĂ©e amoureuse et poĂ©tique ouÌ se rĂ©vĂšlent les passions, se dĂ©voilent les secrets, se poursuivent les amant.es dans un chasseÌ-croiseÌ avec elfes et fĂ©es dâun genre tout aÌ fait spĂ©cial. Marionnettes, musique techno et flamboyantes drag-queens, cette rĂȘve-party dĂ©sinhibĂ©e casse les frontiĂšres entre masculin et fĂ©minin et affirme le droit dâaimer en toute libertĂ©. (Nomination Prix Maeterlinck 2022 « Meilleure rĂ©alisation artistique et technique »)
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