Etienne Roda-Gil : un poète entre ombre et lumière

« Il a tout fait, Etienne Roda-Gil (1941-2004). Du militantisme et des chansons, des scénarios et des livres. Impossible de citer tous les chefs-d’œuvre laissés par celui qui se déclarait « poète industriel »  et qui avait pour devise « Ni Dieu ni maître ». Les textes de La Californie et de Ce n’est rien de Julien Clerc, c’est lui. Comme celui du Lac majeur de Mort Shuman, de Magnolia For Ever et de Alexandrie Alexandra de Claude François, de Joe le Taxi de Vanessa Paradis.

Fils de républicains espagnols, « Roda » n’a jamais cessé de lutter et de s’amuser. Un hommage à ce créateur de l’ombre à la crinière blanche et à la cigarette entre les doigts s’imposait. »

Par ces mots, Alexandre Fillon, journaliste littéraire, nous propose de le suivre dans cette visite « sur mesure » de l’incroyable production littéraire d’un parolier « hors-normes », créateur des plus gros succès
de la chanson française. Il s’entoure pour cela d’une artiste qui a plus d’une corde à son arc : Barbara Carlotti.

Journaliste littéraire, Alexandre Fillon collabore à Lire, au Figaro Littéraire, à Sud-Ouest Dimanche et aux Echos.