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N° 344 - 15 FEVRIER 2023

citadelle

En famille au Musée de la Marine

‱ Visite-jeu Les gardes de la Marine. Pour devenir officier de Marine et commander un navire, les gardes de la Marine doivent passer des Ă©preuves inspirĂ©es des disciplines enseignĂ©es aux XVIIe et XVIIIe siĂšcles, et faire preuve de courage. ( Mer 22 fĂ©v Ă  15h (6-9 ans) ‱ Visite flash La citadelle secrĂšte. DĂ©couvrez les 400 ans d’histoire de la citadelle Ă  travers un circuit inĂ©dit qui vous permettra de dĂ©couvrir des endroits habituellement fermĂ©s aux visiteurs. ( Jeu 23 fĂ©v Ă  15h (tout public). DurĂ©e 30 min)
FĂȘter son anniversaire Ă  la citadelle
Les enfants peuvent participer aux activités du musée avec leurs amis. Un parent accompagnateur est recommandé pour encadrer les enfants (10 maximum). Sur réservation uniquement.
slba

Biennale Petits formats

Un salon organisĂ© par la SLBA, une des plus anciennes associations françaises d’artistes regroupant peintres, sculpteurs, graveurs, photographes, plasticiens, amateurs et professionnels. La grande majoritĂ© des artistes travaillent Ă  l’écart des circuits Ă  la mode, et n’en sont pas moins de vĂ©ritables crĂ©ateurs modernes. Cette annĂ©e, un espace est consacrĂ© Ă  un hommage Ă  Claude Huart, dĂ©cĂ©dĂ© en 2022, grand et magnifique graveur dont l’atelier se trouvait Ă  Clohars-CarnoĂ«t.
> Tous les jours de la Biennale un jeu découverte pour petits et grands, avec Pierre Du Vorsent.
> Conf. « La théorie de la couleur entre science et art », de Philippe Chauvelon, ven 24 fév, 16h
> Atelier initiation « Dessin et monotype », animé par Armelle Thaï, mer 22 fév, 10h
> Atelier Terre « Portrait imaginaire », animé par Lucie Léger, jeu 23 fév, 14h30/16h30
Nach

Nulle part est un endroit

« Nach rencontre le Krump en 2005. Cette danse, aussi intense que spirituelle, est une vĂ©ritable rĂ©vĂ©lation pour la danseuse. AprĂšs une immersion totale dans ce mouvement, l’artiste choisit de s’ouvrir Ă  de nouveaux champs esthĂ©tiques comme le flamenco, le butĂŽ ou encore la marionnette. Nach propose une confĂ©rence dansĂ©e qui tisse les ancrages multiples et les gĂ©ographies mouvantes de sa pratique de danseuse et de chorĂ©graphe. »
> Mar 28 fĂ©v, 20h30. DurĂ©e 45 min. De 8 Ă  16€
Zaho de Sagazan

Zaho de Sagazan

Une voix singuliĂšre et puissante. Un timbre grave portĂ© par des rythmes Ă©lectroniques qui cĂŽtoient la techno berlinoise et l’electronica française. Passant des murmures aux cris, cette Nantaise de tout juste 22 ans s’amuse, se raconte et dissĂšque les travers humains sur des textes en français d’une sincĂ©ritĂ© tranchante. Son premier concert ? La premiĂšre partie de Mansfield Tya, ça pose le personnage, qui a tout d’une rĂ©vĂ©lation. Son pĂšre, Olivier de Sagazan, est aussi un artiste, plasticien pas mal connu. On vous laisse lire l’article que consacre Ouest-France Ă  Zaho ici. Et on vous suggĂšre vivement d'aller la dĂ©couvrir maintenant, vous pourrez dire que vous Ă©tiez lĂ  Ă  ses dĂ©buts...
> Sam 25 fév, 20h30, Hydrophone, Lorient
coups coeur semaine
buren

Le cas des vacances scolaires

Lors de chaque vacances scolaires, vous pouvez nous imaginer nous grattant la tĂȘte au moment de rĂ©aliser cette sĂ©lection. Les salles de spectacles font pour la plupart relĂąche, le numĂ©ro de cette semaine sera donc moins dense qu'Ă  l'habitude...
Cette semaine, nous vous proposons donc de fouiner dans notre agenda pour y trouver des visites et des activités avec les enfants, et on vous rappelle quelques expositions qui valent le détour...
- Willy Ronis, un grand de la photographie, Musée de Pont-Aven et Kiosque de Vannes
- Daniel Buren, un parcours in situ dans l'Ăźle d'Arz (Lire notre article ICI)
- Lignes croisées, un couple d'artistes, Corinne Veret-Collin et Pierre Collin, la Cohue, Vannes
- Les collages tout mignons de Marie Mirgaine Ă  L'Hermine, Sarzeau
- Les sculptures animales un poil punk de Nathalie Pitel, Moulin de Pen Castel, Arzon
- L'univers contemporain et "carcéral" de Nicolas Daubanes à l'Atelier d'Estienne, Pont-Scorff
- Les dessins faussement naïfs de Rozenn Brécard à la MédiathÚque de Quimperlé
- Les visiteurs de musée d'Emma Burr chez Baam, Lorient
- Les photos cinématographiques de Stéphane Mahé à la Galerie Le Lieu, Lorient (Lire ICI)
- L'univers foisonnant du dessinateur Yann Kebbi à la Galerie du Faouëdic, Lorient
- Les arbres Ă©mouvants de Monsieur QQ Ă  la Galerie Tal Coat, Hennebont (Lire ICI)
titre agenda
article isa

Simon Delétang, nouveau CEO du TDL

deletang ©Isabelle Nivet
Jeudi dernier, le ThĂ©Ăątre de Lorient prĂ©sentait officiellement Ă  la presse son nouveau directeur, Simon DelĂ©tang. On vous brosse le tableau rapidement, histoire de vous faire profiter de l’ambiance aussi. Le foyer du ThĂ©Ăątre de Lorient, sa grande baie vitrĂ©e en forme d’Ɠil, le plafond trĂšs haut qui avale les voix. Voulues par Rodolphe Dana, l’ancien directeur (deux mandats de 4 et 3 ans), tables et bancs de cantine ont remplacĂ© les fauteuils LC2 de Le Corbusier et les tables de Charles et Ray Eames qui dataient du mandat de Josette Joubier, premiĂšre directrice de ce qui Ă©tait au dĂ©part Le grand thĂ©Ăątre, en 2003. On a oubliĂ© de poser la question de ce que sera le mobilier choisi par le nouveau directeur. Peut-ĂȘtre des canapĂ©s en rondin de pin, en mĂ©moire de son poste prĂ©cĂ©dent, Ă  la tĂȘte du sublime ThĂ©Ăątre du Peuple de Bussang, Ă©norme chalet ouvert sur la forĂȘt


Pour l’instant, DelĂ©tang lĂąche juste du bout des lĂšvres une envie de « chaleur et de convivialité  un gros travail
 de nouveaux amĂ©nagements
 un nouveau bar, quelque chose de plus maritime que la caravane du hall. Je n’ai pas envie qu’on ne fasse qu’arriver et repartir ». DelĂ©tang sera-t-il celui qui fera, enfin, du vaisseau amiral de la culture lorientaise, un lieu oĂč on a envie de se poser pour boire un verre et parler des spectacles, sans avoir l’impression d’ĂȘtre assis dans un hall de gare ? (Splendide, certes, mais brrrrrrrr, glacial). En tout cas, l’envie d’ĂȘtre proche du public est forte : « En tant que directeur, je serai lĂ  pour accueillir le public dans la salle, disponible, prĂ©sent. Je veux faire vivre le lieu, le rendre accessible. Je veux aller vers les gens, Ă  leur contact. Mon enjeu c’est le public. Il n’y a pas de magie, les gens ne viennent pas tout seuls. On m’a demandĂ© un jour comment il fallait s’habiller pour aller au thĂ©Ăątre ! Les gens n’osent pas rentrer, la billetterie est au fond du hall. Je souhaite que tout le monde ait envie de voir ce qu’il se passe Ă  l’intĂ©rieur. On va crĂ©er une billetterie nomade pour aller Ă  la rencontre des gens dans les quartiers, sur les marchĂ©s
 »

Alors Simon parle d’accessibilitĂ©, de gĂ©nĂ©rositĂ©, de « sortir de l’entre-soi, sinon les thĂ©Ăątres vont mourir », d’aller partout « en allant jouer dans les villages j’ai compris le sens du thĂ©Ăątre. Je veux voir le public, voir le visage des gens. C’est capital. ». DelĂ©tang est comĂ©dien, metteur en scĂšne et scĂ©nographe : « J’aime les dĂ©cors, le spectaculaire, le rĂȘve, l’émerveillement. L’impact visuel. Le cĂŽtĂ© plastique ». Les Lorientais l’ont vu il y a dix ans dans « La mort de Danton » de BĂŒchner. Il est fan de foot, dit-il, et a envie de crĂ©er « une circulation entre le stade et le thĂ©Ăątre ». Et sous son chignon poivre et sel, il est aussi « un grand romantique » qui aime les Ă©motions.

Les prochaines saisons : du thĂ©Ăątre, du classique « avec une appĂ©tence pour le lyrique, et une collaboration avec l’OpĂ©ra de Rennes. On a une fosse pour 80 musiciens, un outil exceptionnel qu’il faut utiliser », de la danse et du cirque. Pas de crĂ©ation pour le boss, mais la reprise d’un spectacle.

Les artistes « compagnons » seront dix, avec la paritĂ© : Leila Slimani, autrice ; ChloĂ© Moglia, acrobate ; Magali Mougel, autrice de thĂ©Ăątre jeunesse ; Sabine Devieilhe et StĂ©phanie d’Oustrac, soprani ; Bonaventure Gacon, clown ; ClĂ©ment Hervieu-LĂ©ger, metteur en scĂšne, Thierry ThieĂ» Niang, chorĂ©graphe ; Vincent Dedienne, comĂ©dien, StĂ©phane Degout, baryton. Et les « compagnies associĂ©es » sont celles de Lena Paugam (22), Antoine de La Roche (29), Emmanuel Meirieu (29), et Julie Guichard (69).

Swipe right. Les nouveautĂ©s : Le retour des abonnements. La reprise d’une communication annuelle sur les spectacles. De nouveaux rendez-vous : « Escales », un samedi par mois Ă  18h, une carte blanche Ă  l’un des artistes-compagnons ; « Lit’oral », un temps fort de quatre ou cinq jours en extĂ©rieur, dans des lieux atypiques. Des projets intergĂ©nĂ©rationnels autour de la littĂ©rature. Des tournĂ©es Ă  vĂ©lo. De nouveaux noms : « Il y a gros enjeu sur l’unicitĂ© des trois salles (Grand thĂ©Ăątre, CDDB et Studio). On va lancer une consultation pour les renommer d’aprĂšs une figure lorientaise ou un auteur ».


Swipe left. Disparitions : Une nouvelle identitĂ© visuelle. Des sĂ©ries longues. La fin du festival Eldorado. La fin de l’écriture de plateau, spĂ©cificitĂ© du mandat Dana (le thĂ©Ăątre Ă©crit par les comĂ©diens). DelĂ©tang, il veut « le retour des grands textes de rĂ©pertoire, MoliĂšre, Racine, Corneille, jouĂ©s par de grands artistes qui porteront ces Ɠuvres. Des textes classiques dans des formes d’aujourd’hui, mais aussi d’auteurs vivants. Mon dĂ©fi, c’est remplir la salle, avec des acteurs connus du thĂ©Ăątre ou du cinĂ©ma, que le public aura plaisir Ă  retrouver.»

Pour mĂ©moire, 38 centres dramatiques nationaux (CDN) existent en France, dont seulement deux en Bretagne, le TNB Ă  Rennes et le ThĂ©Ăątre de Lorient. Les CDN, Ă  la diffĂ©rence des ScĂšnes Nationales, ont la particularitĂ© d’ĂȘtre dirigĂ©s par des artistes qui ont une mission de diffusion, mais surtout de dĂ©veloppement de leur univers artistique.
revolution

Révolution. II. égalité - livre 1

Vous connaissez le culte que je voue à cette bande-dessinée de Grouazel et Locard. Je vous avais parlé du premier tome, « liberté », avec des trémolos dans la voix, voici le premier livre du deuxiÚme tome, « égalité » (en attendant le livre 2, puis le troisiÚme tome, « ou la mort »).

Alors soyons honnĂȘtes, je ne l’ai pas encore terminĂ©, j’en suis Ă  la page 188, mais comme pour le premier, je frĂ©tille chaque soir de retrouver ce pavĂ© qui me pĂšse lourd sur le ventre lorsque je le lis dans mon lit. Le premier tome Ă©tait formidable, le second a pris de l’ampleur, il est plus politique, plus nerveux, plus profond. On dĂ©couvre de nouveaux personnages, on retrouve certains, qui continuent leur chemin dans l’effervescence d’un Paris qui clame, Ă©ructe, vocifĂšre, se questionne autour des questions politiques et sociales du moment. Les noms connus cĂŽtoient les anonymes, les hĂ©ros fictionnels croisent les grandes figures de la RĂ©volution, les petites histoires se tissent Ă  la grande, les anecdotes aux moments-clĂ©s. RevoilĂ  notre hĂ©ros breton, Abel de KervĂ©lĂ©gan et son cƓur d’artichaut, et qui, aprĂšs avoir Ă©cumĂ© les salons Ă  la mode et les bars branchĂ©s, cette fois, se retrouve impliquĂ© dans le courant, hĂ©ros malgrĂ© lui, comme un catalyseur. Revoici Louise, ah Louise ! La petite (oui, elle n’est pas bien grande) bonne s’intĂ©resse de plus en plus aux idĂ©es, et ce personnage fĂ©ministe, humaniste et politique nous plait bien : une femme qui pense, une femme du peuple, voilĂ  une figure qu’on ne voit pas souvent dans les rĂ©cits historiques


Plus que jamais, l’analogie aux grandes sĂ©ries se fait, on pense toujours Ă  la maniĂšre d’écrire de David Simon, le rĂ©alisateur de « The Wire ». Comme toujours, Grouazel et Locard croisent leurs dessins, unifiĂ©s par la couleur, sans que cela pose problĂšme. A Grouazel les scĂšnes plus intimes et les gros plans, Ă  Locard les panoramiques, les scĂšnes de rue. Et quelles scĂšnes ! Pratiquement une page sur deux : combien de soupirs j’ai Ă©touffĂ©, combien de cris j’ai retenu, combien de « oh putain » je n’ai pas dit. C’est dingue. Ces mecs sont dingues. On sait bien qu’ils ont passĂ© quoi ? deux ans ? trois ans ? Ă  faire ce bouquin. Tu m’étonnes. C’est du dĂ©lire. Les scĂšnes de bataille du cinĂ©ma n’ont qu’à aller se rhabiller, avec leurs orques crĂ©Ă©s par une IA et dupliquĂ©s par un arsenal d’ordinateurs. Ici, tout est dessinĂ© Ă  la main. Des centaines de personnages, de vĂ©hicules, de commerces, de fenĂȘtres, de corniches, de bateaux, de rues, de feuilles d’arbres. Tout est dessinĂ©. MĂȘme en trĂšs trĂšs petit, rĂ©duit Ă  une silhouette, chaque personnage a une identitĂ©, une attitude (rĂ©aliste) un vĂȘtement. Chaque fenĂȘtre est dessinĂ©e ! Ah mais les fenĂȘtres ! Avec leurs petits carreaux, leurs moulures, leurs colonnades, leurs rideaux, les gens qui regardent dehors. Chaque Ă©tage, chaque fronton, chaque sculpture est dessinĂ©e. Ces mecs sont bargeots. Trois cent pages. A chaque page, je les imaginais (c’est facile, on se connait, il m’arrive souvent de les croiser Ă  Lorient) en train de dessiner une Ă  une ces putain de fenĂȘtres et je me disais que non, c’était pas possible de passer autant de temps sur un dessin. J’imaginais les crayons et les feutres traçant, traçant, sans relĂąche. Les stries, les hachures, les ombres.

Ah oui, parce qu’il faut aussi parler de la lumiĂšre, dans ce livre si sombre que le lire sous une lampe de chevet n’est pas la meilleure idĂ©e. La lumiĂšre, traitĂ©e en crĂšme, en ivoire, dans tout le livre, posĂ©e sur les visages pour crĂ©er l’intimitĂ©, mettre en avant les expressions, un magnifique travail de teintes sourdes qui racontent une Ă©poque oĂč seules les bougies donnent de la lumiĂšre. On passe donc du brun au bleu-gris, du bleu-nuit Ă  l’ocre au vert sombre au rouille, en fonction du contexte, de l’ambiance. Il faudrait lire ce livre vingt fois, passer des mois sur pratiquement chaque image, et il faut bien sĂ»r l’offrir, d’autant plus que le prix est ridiculement bas, 28 €, ça fait la page Ă  pas cher.
revolution
ON SAUTE DANS LA twingo
grand bain

Le grand bain

Ah, c'est tentant, ce festival de house, Ă©lectro, pop, oĂč l'on danse dans une piscine... Les pieds au sec, mais sous la boule Ă  facettes. La piscine Foch, Ă  Brest, est vidĂ©e chaque annĂ©e pour son entretien, et avant sa rĂ©ouverture, elle se transforme en dance floor gĂ©ant. C'est fun.
> Ven 17 et sam 18 fév, Brest
titre emballe CONCOURS
zaho
Pour tenter de gagner, envoyez-nous un mail đ”Șđ”Šđ”€đ”«đ”Źđ”« avec
1. votre nom
2. votre numéro de téléphone.
3. le titre et la date du spectacle pour lequel vous jouez

Cette semaine, gagnez des places pour

‱ Zaho de Sagazan (Photo) (Lire plus haut). Sam 25 fĂ©v, 20h30, Hydrophone, Lorient

‱ Tomber en amour. La nouvelle crĂ©ation des briochins d'AK EntrepĂŽt met en scĂšne un adolescent et sa grand-mĂšre. L’un et l’autre, au mĂȘme moment, traversent une tempĂȘte : ils tombent en amour. Pour lui, une dĂ©flagration. Pour elle, le retour Ă  l’insolence de l’adolescence.
> Mar 28 fév, 20h, Le DÎme, Saint-Avé
media
Et aussi... Des ateliers en famille à la médiathÚque de Lorient

‱ PoĂ©sie "FrontiĂšres"
CrĂ©er un grand leporello, un livre qui se dĂ©plie comme un accordĂ©on grĂące Ă  une technique de pliage et de collage de ses pages. Composer ses poĂšmes sur les pages du livre, enrichies d’une aquarelle.
> Sam 18 fĂ©v de 14h Ă  17h. Atelier parents/enfants animĂ© par la poĂšte-plasticienne Lydia Padellec. Inscription Ă  l’accueil de la salle littĂ©rature adultes ou par mail (ml_litterature@mairie-lorient.fr)
‱ Manga
DĂ©butants ou plus confirmĂ©s en dessin, ateliers ouverts Ă  tous grĂące Ă  une mĂ©thode d’apprentissage simple basĂ©e sur des formes gĂ©omĂ©triques.
> Mer 15, sam 18, mer 22 fĂ©v, de 14h Ă  16h30. Gratuit. AnimĂ© par Medzi-O. A partir de 11 ans – MatĂ©riel fourni. Inscription Ă  la mĂ©diathĂšque de Keryado ou par tĂ©lĂ©phone au 02 97 02 23 11
‱ Danse latino
Atelier dĂ©couverte participatif : Bachata, Cha-Cha-Cha, Salsa, Rumba et un peu de rock... ProposĂ© par l’association de Lanester Les Amis de la danse
> Sam 18 fév de 10h30 à 12h. Public Adulte. Durée 1h30 environ - Inscription conseillée
‱ Ateliers Ă©criture
Dans les littĂ©ratures de l’imaginaire et d’ailleurs, les personnages fĂ©minins ont longtemps Ă©tĂ© cantonnĂ©es aux rĂŽles de figurantes, rĂ©duites Ă  l’état d’objet – de conquĂȘte, de protection ou de sauvetage – mais sous l’effet conjuguĂ© d’une nouvelle gĂ©nĂ©ration elles ont fini par s’émanciper pour devenir de grandes hĂ©roĂŻnes. Les « filles Ă©lectriques », est un nouveau rendez-vous jeune public Ă  partir de 12 ans, comportant 5 ateliers d’écriture crĂ©ative pour explorer 5 livres mettant en scĂšne des hĂ©roĂŻnes modernes. Les fiancĂ©s de l'hiver, de Christelle Dabos (atelier passĂ© – 25 oct 22) / La rĂ©lĂšve, d’AmĂ©lie FlĂ©chet et Jonathan Garnier (atelier passĂ© – 14 fĂ©v 23) / Lighfall, La derniĂšre flamme, de Tim Probert (21 fĂ©v 23) / Violette Hurlevent et le jardin sauvage, Jean-Baptiste Bourgois et Paul Martin (18 avr 23) / L’arpenteuse de rĂȘves, Estelle Faye (25 avr 23)