On l’a vu l’hiver dernier, on avait été émue. Ces traces du temps passé, ces histoires de bal à papa qu’on n’a jamais connu, ce portrait de Dany Bigoud entre fiction et récit, la place prise par un Jean-Louis Le Vallégant assumant sa fragilité, c’était très beau tout ça. On a voulu revoir Le Vallégant, pour qu’il nous raconte comment se sont écrites ces traces…
