La fascination pour la littérature est une grave maladie avec laquelle il ne faut pas trop plaisanter. Les bibliovores ne sont jamais rassasiés et s’entourer d’écrits relève parfois du syndrome de Diogène. C’est ainsi qu’est bâtie cette oeuvre, on se retrouve lové sous une constellation où brillent titres, noms d’auteurs et anecdotes de livres qu’on a lus et qu’on aimerait relire, ou qu’on ne connait pas encore mais qu’on meurt d’envie de découvrir.
