Voilà l’été, vous êtes entièrement monoïée. Ainsi huilée, vous avez aisément glissé dans votre tout petit-petit mono, bi, tri, quadri, quinkini. (Dieu sait où commence et s’arrête la liberté du kini…) Lunettée, chapeautée, votre corps, oint de fleur de tiaré, est à présent allongé sur un paréo qui vous colle au dos. Pas de doute, les pieds ensablés, vous êtes prête à quelques légèretés.
