Vous êtes un fan de Haneke, le festival de Cannes est trop loin, et vous aimeriez déjà vous rafraîchir à la froideur des sentiments ? Vous avez éprouvé un mal de dent lancinant en lisant La leçon, de Ionesco, et suffoqué en allant voir Le canard sauvage, d’Ibsen, vous rêvez de ressentir à nouveau le frisson de l’oppression ? Vous êtes metteur en scène de théâtre et êtes en quête d’une nouvelle bonne tragédie ou vous avez simplement envie de lire un bon bouquin ? Onzième roman, livre dix-huit est fait pour vous.
