N’attendez pas cet été pour découvrir ce premier roman. Le lire au bord de la piscine aurait quelque chose de discordant. La violence vue par le prisme de l’oeil d’un enfant n’a, me semble-t-il, jamais senti les fragrances de la crème solaire ni de quelqu’autre onguent. Alors, si vous êtes sensibles, un petit conseil, rapprochez-vous subrepticement de votre voisine de train pour ne pas vous sentir seul avec le texte…
