A la fois cérébrale et spontanée, l’œuvre de Petrovitch est abondamment commentée, et souvent via des prismes psychologiques ou psychanalytiques, il n’est donc pas forcément utile d’apporter une pierre de plus à l’édifice critique qui théorise un corpus infiniment riche. Alors quoi ? Qu’apporter de plus ? Comme toujours, le désir, peut-être.
