Lundi 3 janvier, Morgane, du Strapontin, nous appelle pour nous proposer une interview par téléphone avec Denis Athimon. Ouais. Okay. On s’échange trois textos. On lui propose 16h32, 17h37, ou 18h29, il choisit 16h32 « même si (il) préfère les chiffres ronds ». Il appellera à 16h31, ça coupe la poire en deux, on est tous les deux très contents. Merci Denis, on s’est franchement marrés lors de cet entretien.

La presse était invitée la semaine dernière à ce qui ressemblait plus à un pot de départ en retraite dans le service comptabilité de l’usine de parapluies Pujol-Michonneau qu’à une conférence de presse.

Bon, on va un peu vous raconter notre notre vie de journaliste au Festival Les Rias, et probablement, vous allez vous dire qu’elle n’est pas très différente de la vôtre. Sauf que nous on bosse. Enfin, pas tout le temps. Parfois ça dérape.

Bien sûr, tu te diras que bon sang, mais c’est à ça que sert le théâtre aujourd’hui, oui, tu te dis ça toi aussi que les peines de coeur de Perdican, c’est bien joli, mais que peut-être le théâtre, les théâtres, il pourraient ouvrir plus grand leurs portes au sens, à l’utile, quand il est aussi beau que ça.

On est allée à la rencontre, un joli matin plein de soleil et de rosée dans l’herbe, d’Elsa Amsallem, de L’atelier des possibles. C’était dans un jardin, un jardin incroyable, un parc de château sans château, le Domaine du Leslé, à Pont-Scorff, normal à Pont-Scorff, parce que c’est le Théâtre du Strapontin qui accueillera à […]

Une interview un peu foutraque, une intervieweuse en mode impro et un interviewé dérouté. On a rencontré Sébastien Wojdan, de Galapiat cirque, pour sa nouvelle création, « Blanc »