L’œuvre de Michel Thamin me fait penser à cette comptine que me racontait ma grand-mère en jouant avec mes doigts, les refermant au fur à mesure de l’histoire, comme si elle me confiait un secret à garder au creux de la paume. Michel Thamin, lui, passe son temps à nous transmettre des secrets, que nous ne savons pas forcément interpréter, mais qui font œuvre de viatique.
