D’un côté tu as le rapport du GIEC* qui nous donne trois ans pour assurer la survie de la planète. De l’autre, tu as des élections présidentielles pour qui le climat c’est balek. Au milieu, tu rajoutes la guerre en Ukraine, et une petite crise sanitaire qui ne semble pas totalement s’éloigner. En gros, si tu es un·e humain·e un peu normal·e, tu as juste envie de te terrer pour toujours sous un tas de compost.
30 avril 2022